Lot Essay
Charles Michel Cochois, mort en 1764, demeurait rue Saint-Denis en 1740, lors du décès de son épouse, fille du menuisier Reuze. Il possedait alors dans sa boutique deux bâtis de bureau, un de six pieds et l'autre de quatre et demy. Dans le magasin étaient en vente un grand bureau en S de six pieds, bas d'armoire au bout de son serre-papier au dessus, la pendule, la table à écrire (pupitre) et deux pierres à papier, le tout garny de bronze non doré et ciselé, la somme de 1000 livres. Il utilisait alors du bois de violette, de l'amarante, du satiné, du cèdre et du palissandre.
L'inventaire de sa première épouse, en 1730, mentionnait trente-trois pendules. Peu d'autres meubles sont décrits et aucun bureau plat n'y figure. Ce bureau a donc été exécuté aux environs de 1740.
L'inventaire de sa première épouse, en 1730, mentionnait trente-trois pendules. Peu d'autres meubles sont décrits et aucun bureau plat n'y figure. Ce bureau a donc été exécuté aux environs de 1740.