Lot Essay
Charles Duron (1814-1872, insculpation en 1850) était l'un des orfèvres et émailleurs les plus reconnus de la seconde moitié du XIXème siècle.
Il réalisa notre coupe en 1867, peut-être pour l'Exposition Universelle qui se tint à Paris cette même année et pour laquelle il reçut une médaille d'or.
Charles Duron, comme la majorité des artistes de cette époque fût largement inspiré par l'éclectisme où les styles des époques précédentes ont créé un mélange très intéressant de formes ainsi qu'un nouveau répertoire décoratif.
C'est dans les modèles de la Renaissance que Duron choisit la plupart de ses formes mais il était aussi très influencé par l'art mauresque qu'il incorpora dans son vocabulaire décoratif. Comme les artistes italiens de la Renaissance, il adapte la technique de la marqueterie de pierres dures pour les objets d'orfèvrerie de petite dimension.
Sa clientèle comprenait de grands collectionneurs comme Edward Fould qui lui commanda une aiguière en lapis-lazuli datée de 1867 et illustrée dans l'ouvrage de J. Mesnard, Les Merveilles de l'Exposition Universelle de 1867, Paris, 1867.
Les oeuvres de Charles Duron se distinguent par la perfection de leur exécution, la recherche approfondie de matériaux originaux tels que l'onyx et l'agate orientale mais aussi par leur extrême finesse, principales caractéristiques des chefs-d'oeuvre d'orfèvrerie.
Il réalisa notre coupe en 1867, peut-être pour l'Exposition Universelle qui se tint à Paris cette même année et pour laquelle il reçut une médaille d'or.
Charles Duron, comme la majorité des artistes de cette époque fût largement inspiré par l'éclectisme où les styles des époques précédentes ont créé un mélange très intéressant de formes ainsi qu'un nouveau répertoire décoratif.
C'est dans les modèles de la Renaissance que Duron choisit la plupart de ses formes mais il était aussi très influencé par l'art mauresque qu'il incorpora dans son vocabulaire décoratif. Comme les artistes italiens de la Renaissance, il adapte la technique de la marqueterie de pierres dures pour les objets d'orfèvrerie de petite dimension.
Sa clientèle comprenait de grands collectionneurs comme Edward Fould qui lui commanda une aiguière en lapis-lazuli datée de 1867 et illustrée dans l'ouvrage de J. Mesnard, Les Merveilles de l'Exposition Universelle de 1867, Paris, 1867.
Les oeuvres de Charles Duron se distinguent par la perfection de leur exécution, la recherche approfondie de matériaux originaux tels que l'onyx et l'agate orientale mais aussi par leur extrême finesse, principales caractéristiques des chefs-d'oeuvre d'orfèvrerie.