La coupole de Saint Pierre, avec une autre coupole, des figures au premier plan, Rome

Une contre-épreuve de cette compostion, légèrement plus petite, est conservée dans la collection Pâris à Besançon (M. Roland-Michel, Piranese et les français, cat. expo. Rome, Villa Medici et autre, 1976, no. 175). Marianne Roland-Michel date le dessin autour de 1760 et remarque que pour le réaliser Robert 's'est placé sur la terrasse à la base de la coupole, face à cette volée de marches, au centre, et à la toiture à gauche, qui existe réellement, de même que la petite coupole qu'on aperçoit au fond. Mais ce qui appararaît comme une architecure d'importance comparable à celle de la coupole de Michel-Ange, c'est la seconde des petites coupoles latérales [...] qui domine et commande la perspective'.
Une autre version de ce dessin, plus grande, était dans la vente G. Lasquin, Paris, 7-8 juin 1928, lot 204.