Lot Essay
Marc Vellay, Kenneth Frampton, Pierre Chareau, Editions du Regard, Paris, 1984, p. 50, p. 93, 194, 195
Pierre Chareau architecte, un art intérieur, catalogue d'exposition, Centre Georges Pompidou, CCI, Paris, 3 nov. 1993 au 17 janv. 1994, p. 15 pour un dessin du hall d'entrée de l'appartement Dalsace, bd Saint-Germain, p. 17 pour un décor du film L'Inhumaine de Marcel l'Herbier, p. 155, p. 191 pour une vue du Salon-Bar du Grand Hôtel de Tours
Brian Brace Taylor, Pierre Chareau designer et architecte, Taschen, Cologne, 1992, p. 62 et 63
Tout autant luminaire que sculpture, le dessin de ce lampadaire demeure unique dans l'histoire du mobilier. Il sera décliné en trois tailles, lampadaire, lampe de table et veilleuse. Réalisé soit en bois, en acajou de Cuba le plus souvent, plus rarement en sycomore (cf. une lampe de table pour une salle de repos de l'Ambassade de France), soit en métal à partir d'une feuille de tôle ceintrée roulée, il prend la forme d'un cône plissé, évoquant un enroulement de matière. Présentant des variantes en fonction des modèles, seul le fût de la veilleuse est conçu comme un cône lisse. Il était soit coiffé de plaques d'albâtre soit d'un abat-jour en tissu
Pierre Chareau architecte, un art intérieur, catalogue d'exposition, Centre Georges Pompidou, CCI, Paris, 3 nov. 1993 au 17 janv. 1994, p. 15 pour un dessin du hall d'entrée de l'appartement Dalsace, bd Saint-Germain, p. 17 pour un décor du film L'Inhumaine de Marcel l'Herbier, p. 155, p. 191 pour une vue du Salon-Bar du Grand Hôtel de Tours
Brian Brace Taylor, Pierre Chareau designer et architecte, Taschen, Cologne, 1992, p. 62 et 63
Tout autant luminaire que sculpture, le dessin de ce lampadaire demeure unique dans l'histoire du mobilier. Il sera décliné en trois tailles, lampadaire, lampe de table et veilleuse. Réalisé soit en bois, en acajou de Cuba le plus souvent, plus rarement en sycomore (cf. une lampe de table pour une salle de repos de l'Ambassade de France), soit en métal à partir d'une feuille de tôle ceintrée roulée, il prend la forme d'un cône plissé, évoquant un enroulement de matière. Présentant des variantes en fonction des modèles, seul le fût de la veilleuse est conçu comme un cône lisse. Il était soit coiffé de plaques d'albâtre soit d'un abat-jour en tissu