Lot Essay
Foureau, comme nombre de ses confrères, se spécialisa dans les meubles laqués à l'imitation de la Chine. La majorité de ses pièces est d'époque Transition du fait de son accession à la maîtrise tard dans l'époque Louis XV et rendant la présente commode un de ses rares modèles pleinement Louis XV.
On connaît une autre commode au bâti identique mais de décor différent vendue à Paris, Hôtel Drouot, le 30 mai 1980, lot 339, 107,000 FF.
Il est tentant d'imaginer que l'une de ces deux commodes ait été accompagnée d'encoignures en laque de Chine maintenant conservées au Musée Carnavalet et illustrées dans A. Forray-Carlier, Le Mobilier du Musée Carnavalet, Dijon, 2000, p.69, no.19.
Bien que limitée, la production des meubles laqués de Foureau semble marquée d'un décor latéral qui lui est propre: les bordures dorées à l'imitation du bronze. Une façon sans doute de réduire le montant de ces commandes déjà couteuses à l'époque. En témoigne aussi, une commode Transition en laque de Chine vendue à Paris, hôtel Drouot, le 7 décembre 2005, lot 339, vendue 31,000 euros.
On connaît une autre commode au bâti identique mais de décor différent vendue à Paris, Hôtel Drouot, le 30 mai 1980, lot 339, 107,000 FF.
Il est tentant d'imaginer que l'une de ces deux commodes ait été accompagnée d'encoignures en laque de Chine maintenant conservées au Musée Carnavalet et illustrées dans A. Forray-Carlier, Le Mobilier du Musée Carnavalet, Dijon, 2000, p.69, no.19.
Bien que limitée, la production des meubles laqués de Foureau semble marquée d'un décor latéral qui lui est propre: les bordures dorées à l'imitation du bronze. Une façon sans doute de réduire le montant de ces commandes déjà couteuses à l'époque. En témoigne aussi, une commode Transition en laque de Chine vendue à Paris, hôtel Drouot, le 7 décembre 2005, lot 339, vendue 31,000 euros.