BROCHE SAUTERELLES AIGUE-MARINE, PATE DE VERRE ET EMAIL, PAR LALIQUE
No VAT will be charged on the hammer price, but VA… Read more Georges Charbonneaux (1865-1933) et René Lalique Georges Charbonneaux, industriel rémois et fondateur en 1913 de la première cité-jardin en France pour le logement des familles nombreuses, était aussi grand amateur d'art, de musique et collectionneur. Dans les années 1895, il rencontre Lalique, auquel il achète quelques bijoux (dont le collier qui est au Metropolitan Museum de New York et exposé au Musée du Luxembourg actuellement). Devenus amis, Georges Charbonneaux achète surtout à René Lalique de nombreux vases et objets dont une quarantaine de cires perdues. Lalique lui cède un certain nombre de pièces non destinées à la vente: la vitrine de l'exposition de 1901, la porte de son salon d'exposition du cours Albert 1er ainsi qu'un des lustres du même salon. Leur correspondance témoigne de leur estime réciproque. Ainsi que l'écrit André Garcia dans un petit livre récemment paru "René Lalique et Champagne", Editions André Garcia, 2007, "Si Calouste Gulbenkian est incontestablement le premier client admirateur inconditionnel de René Lalique, le rémois Georges Charbonneaux en est très certainement le second" George Charbonneaux, the great industrialist from Reims and founder of the "garden town", based on the philosophy of providing green and open spaces for homes of industrial working families. He was also a great lover of music and a collector of art. It was in 1895 that he met Lalique and immediately purchased some pieces of jewellery. The two became good friends and Charbonneaux continued to purchase glass including forty or so lost wax moulds. In addition Lalique also gave him certain pieces not intended for sale including the exhibition door to his show in 1901 at Albert 1st, his display cabinet and a chandelier from the same show. Their correspondence is a testimony to their mutual esteem. As André Garcia writes in a little book published recently 'René Lalique et Champagne', "if Galouste Gulebkian was undoubtedly the first unconditional admirer of René Lalique's work, George Charbonneaux from Reims was the second". Amongst the collection of jewels he built over the years is one of the necklaces currently in New York's Metropolitan Museum, exhibited now at the Luxembourg Museum and lot 194 the grasshoper brooch.
BROCHE SAUTERELLES AIGUE-MARINE, PATE DE VERRE ET EMAIL, PAR LALIQUE

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BROCHE SAUTERELLES AIGUE-MARINE, PATE DE VERRE ET EMAIL, PAR LALIQUE
Composée de deux sauterelles se faisant face, le corps en pâte de verre opalescent de couleur bleue verte, les pattes rehaussés d'émail vert foncé, les brindilles en émail turquoise retenant au centre une aigue-marine de forme coussin, monture en or jaune, vers 1906
Signée Lalique
Literature
Alistair Duncan, The Paris salons Jewellery II, 1895-1914, page 50 pour une broche similaire
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AN AQUAMARINE, ENAMEL, PASTED GLASS AND GOLD GRASSHOPPER BROOCH, BY LALIQUE

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