Lot Essay
Cf. : Jean Prouvé, Le Métal dans L'Art International d'Aujourd'hui, id., pl. 8 ;
Ernest Tisserand, Esthétique du luminaire dans l'Art Vivant, 1er décembre 1930, n. 143, p. 942 ;
Robert Mallet-Stevens, Maurice Raynal, Rob Mallet-Stevens : dix années de réalisation en architecture et décoration, id., p. 31 pour une vue in situ dans le bureau personnel de Robert Mallet-Stevens ;
Danièle Baroni, L'Oggeto Lampada, forme e funzione, Electa, Milan, 1981, p. 73
Cette lampe de bureau fait partie des quatre modèles initiaux qui marquent les débuts de la collaboration entre Le Chevallier et Koechlin dès l'été 1926. Ici le réflecteur, de forme demi-cylindrique déployée, est spécifiquement étudié afin de diriger l'éclairage tout en évitant qu'il ne 'masque toute la lumière'. René Koechlin se rend vite compte que l'emploi de l'aluminium et de l'ébonite, matériaux tendres et malléables, posent la question de la finition des surfaces, dont il est très difficile de conserver l'aspect lisse et poli au cours des différentes phases de fabrication. Le modèle remportera un certain succès auprès des architectes modernes, tel Robert Mallet-Stevens, mais sa diffusion restera confidentielle. Il sera commercialisé en deux tailles, un petit et un grand modèle.
Il sera exposé au XXème Salon d'Automne, à Paris en 1926, ainsi que chez D.I.M., 40, rue du Colisée en 1929.
Ernest Tisserand, Esthétique du luminaire dans l'Art Vivant, 1er décembre 1930, n. 143, p. 942 ;
Robert Mallet-Stevens, Maurice Raynal, Rob Mallet-Stevens : dix années de réalisation en architecture et décoration, id., p. 31 pour une vue in situ dans le bureau personnel de Robert Mallet-Stevens ;
Danièle Baroni, L'Oggeto Lampada, forme e funzione, Electa, Milan, 1981, p. 73
Cette lampe de bureau fait partie des quatre modèles initiaux qui marquent les débuts de la collaboration entre Le Chevallier et Koechlin dès l'été 1926. Ici le réflecteur, de forme demi-cylindrique déployée, est spécifiquement étudié afin de diriger l'éclairage tout en évitant qu'il ne 'masque toute la lumière'. René Koechlin se rend vite compte que l'emploi de l'aluminium et de l'ébonite, matériaux tendres et malléables, posent la question de la finition des surfaces, dont il est très difficile de conserver l'aspect lisse et poli au cours des différentes phases de fabrication. Le modèle remportera un certain succès auprès des architectes modernes, tel Robert Mallet-Stevens, mais sa diffusion restera confidentielle. Il sera commercialisé en deux tailles, un petit et un grand modèle.
Il sera exposé au XXème Salon d'Automne, à Paris en 1926, ainsi que chez D.I.M., 40, rue du Colisée en 1929.