Lot Essay
Cf. : Jean Prouvé, Le Métal, dans L'Art International d'Aujourd'hui, id., pl. 8 ;
Maurice Raynal, Rob. Mallet-Stevens, dix années de réalisations en architecture et décoration, id., p. 31 pour une vue in situ dans le bureau de l'agence Robert Mallet-Stevens ;
Jean-François Archieri, Jacques Le Chevallier 1896-1987, la lumière moderne, id., page de couverture, p. 64 et p. 68-69 pour des vues d'ensembles et de détails ;
UAM French Modern Sources, id., p. 21
Jacques Le Chevallier et son collaborateur l'ingénieur René Koechlin imaginent tout d'abord une base en bois pour ce modèle, qui existe également avec ouverture, avant d'opter pour une base circulaire trépied en aluminium. La sphère y repose simplement, ce qui permet d'en orienter le rayonnement lumineux à sa convenance. Tous les éléments constitutifs de ce modèle révèlent directement leur fonction, l'ampoule prévue pour être opale étant elle-même laissée apparente et la fenêtre destinée à en accroître l'intensité lumineuse.
Dès sa parution, ce modèle suscite l'intérêt de la critique et emporte l'enthousiasme des représentants du courant moderne, tels Mallet-Stevens, les frères Martel. Devant le succès remporté par ce modèle auprès d'un public averti, la maison D.I.M décide de l'éditer puis de la produire. Le contrat d'édition cesse néanmoins rapidement, début 1930, pour défaut de fabrication et sera repris pendant un temps par Louis Barillet. La fabrication semble alors en revenir à René Koechlin, aidé d'un façonnier parisien. face au succès de ce modèle des essais de fabrication seront encore réalisés dans d'autres métaux -- laiton nickelé, zinc et duralumin --afin de tenter d'en réduire le coût mais aussi d'en varier les finitions. Le modèle de la lampe 'Sphère éclatée' sera exposée au XXème Salon d'Automne, Paris, en 1927, ainsi que dans le magasin D.I.M en 1929.
Un exemplaire de ce modèle fait partie des collections du Centre Georges Pompidou.
Maurice Raynal, Rob. Mallet-Stevens, dix années de réalisations en architecture et décoration, id., p. 31 pour une vue in situ dans le bureau de l'agence Robert Mallet-Stevens ;
Jean-François Archieri, Jacques Le Chevallier 1896-1987, la lumière moderne, id., page de couverture, p. 64 et p. 68-69 pour des vues d'ensembles et de détails ;
UAM French Modern Sources, id., p. 21
Jacques Le Chevallier et son collaborateur l'ingénieur René Koechlin imaginent tout d'abord une base en bois pour ce modèle, qui existe également avec ouverture, avant d'opter pour une base circulaire trépied en aluminium. La sphère y repose simplement, ce qui permet d'en orienter le rayonnement lumineux à sa convenance. Tous les éléments constitutifs de ce modèle révèlent directement leur fonction, l'ampoule prévue pour être opale étant elle-même laissée apparente et la fenêtre destinée à en accroître l'intensité lumineuse.
Dès sa parution, ce modèle suscite l'intérêt de la critique et emporte l'enthousiasme des représentants du courant moderne, tels Mallet-Stevens, les frères Martel. Devant le succès remporté par ce modèle auprès d'un public averti, la maison D.I.M décide de l'éditer puis de la produire. Le contrat d'édition cesse néanmoins rapidement, début 1930, pour défaut de fabrication et sera repris pendant un temps par Louis Barillet. La fabrication semble alors en revenir à René Koechlin, aidé d'un façonnier parisien. face au succès de ce modèle des essais de fabrication seront encore réalisés dans d'autres métaux -- laiton nickelé, zinc et duralumin --afin de tenter d'en réduire le coût mais aussi d'en varier les finitions. Le modèle de la lampe 'Sphère éclatée' sera exposée au XXème Salon d'Automne, Paris, en 1927, ainsi que dans le magasin D.I.M en 1929.
Un exemplaire de ce modèle fait partie des collections du Centre Georges Pompidou.