Lot Essay
Il existe une variante du modèle, sans serpent retenu dans le bec des oiseaux de la coupe lumineuse.
A l'origine, Rateau en installera quatre dans la salle de bains de la duchesse d'Albe, comme le montre le plan, dont les deux exemplaires présentés ici sont les seuls encore existants. Il utilisera les deux variantes chez Jeanne Lanvin (sans serpent pour sa chambre et la salle à manger ; avec serpent pour le hall d'entrée, le grand salon et la salle de bains), dont quatre exemplaires sont aujourd'hui conservés au Musée des Arts Décoratifs, Paris. Il emploiera également le modèle sans serpent pour la salle à manger de son propre hôtel particulier quai de Conti.
Pièce maîtresse des créations en bronze de Rateau, ce modèle apparaît ici pour le première fois en vente aux enchères. Par ailleurs il n'a jamais été présenté qu'une seule fois sur le marché jusqu'à aujourd'hui, lors de la Biennale des Antiquaires 2004, dans le cadre de l'exposition organisée par la galerie Vallois, Paris, Armand Albert Rateau-Jeanne Lanvin
Cf. : Une salle de bains moderne dans un palais ancien, dans Vogue, mai 1926, p. 32
Yvonne Bruhammer, 1925, Les Presses de la Connaissance, Paris, 1976, ouvrage publié à l'occasion de l'exposition Cinquantenaire de l'exposition de 1925, Musée des Arts Décoratifs, Paris, 14 octobre 1976-2 février 1977, p. 200
AA RATEAU, catalogue d'exposition, galerie DeLorenzo, New York, 1990, p. 15-16,18, 48, 63 (modèle non exposé mais illustré au catalogue)
F. Olivier-Vial et F. Rateau, Armand Albert Rateau, les éditions de l'amateur, Paris, 1992, p. 22, 27, 32, 41, 48-49, 68-69, 105-107
Armand Albert Rateau, catalogue d'exposition, galerie Vallois, Paris, Biennale des Antiquaires, 2004
H. Guéné, Décoration et haute couture, Armand Albert Rateau pour Jeanne Lanvin, un autre Art déco, Les Arts Décoratifs, Paris, 2006, p. 105, 109, 113-114, 123, 133, 151 et p. 155
A l'origine, Rateau en installera quatre dans la salle de bains de la duchesse d'Albe, comme le montre le plan, dont les deux exemplaires présentés ici sont les seuls encore existants. Il utilisera les deux variantes chez Jeanne Lanvin (sans serpent pour sa chambre et la salle à manger ; avec serpent pour le hall d'entrée, le grand salon et la salle de bains), dont quatre exemplaires sont aujourd'hui conservés au Musée des Arts Décoratifs, Paris. Il emploiera également le modèle sans serpent pour la salle à manger de son propre hôtel particulier quai de Conti.
Pièce maîtresse des créations en bronze de Rateau, ce modèle apparaît ici pour le première fois en vente aux enchères. Par ailleurs il n'a jamais été présenté qu'une seule fois sur le marché jusqu'à aujourd'hui, lors de la Biennale des Antiquaires 2004, dans le cadre de l'exposition organisée par la galerie Vallois, Paris, Armand Albert Rateau-Jeanne Lanvin
Cf. : Une salle de bains moderne dans un palais ancien, dans Vogue, mai 1926, p. 32
Yvonne Bruhammer, 1925, Les Presses de la Connaissance, Paris, 1976, ouvrage publié à l'occasion de l'exposition Cinquantenaire de l'exposition de 1925, Musée des Arts Décoratifs, Paris, 14 octobre 1976-2 février 1977, p. 200
AA RATEAU, catalogue d'exposition, galerie DeLorenzo, New York, 1990, p. 15-16,18, 48, 63 (modèle non exposé mais illustré au catalogue)
F. Olivier-Vial et F. Rateau, Armand Albert Rateau, les éditions de l'amateur, Paris, 1992, p. 22, 27, 32, 41, 48-49, 68-69, 105-107
Armand Albert Rateau, catalogue d'exposition, galerie Vallois, Paris, Biennale des Antiquaires, 2004
H. Guéné, Décoration et haute couture, Armand Albert Rateau pour Jeanne Lanvin, un autre Art déco, Les Arts Décoratifs, Paris, 2006, p. 105, 109, 113-114, 123, 133, 151 et p. 155