![[Georges BATAILLE (1897-1962)] – Pierre ANGÉLIQUE. Madame Edwarda. Paris: Éditions du Solitaire, 1937 [1941]. In-12 (155 x 102). Reliure de l’époque, demi-veau à coins, dos à nerfs, couverture et dos conservés (reliure très légèrement frottée.)](https://www.christies.com/img/LotImages/2016/PAR/2016_PAR_12686_0130_000(georges_bataille_pierre_angelique_madame_edwarda_paris_editions_du_sol084347).jpg?w=1)
L’exemplaire de Paul Éluard puis de René Char
[Georges BATAILLE (1897-1962)] – Pierre ANGÉLIQUE. Madame Edwarda. Paris: Éditions du Solitaire, 1937 [1941]. In-12 (155 x 102). Reliure de l’époque, demi-veau à coins, dos à nerfs, couverture et dos conservés (reliure très légèrement frottée.)
Details
[Georges BATAILLE (1897-1962)] – Pierre ANGÉLIQUE. Madame Edwarda. Paris: Éditions du Solitaire, 1937 [1941]. In-12 (155 x 102). Reliure de l’époque, demi-veau à coins, dos à nerfs, couverture et dos conservés (reliure très légèrement frottée.)
Provenance: Paul Éluard (envoi) - René Char (envoi).
ÉDITION ORIGINALE parue clandestinement sous un pseudonyme et avec une date fictive. Tirage à 45 exemplaires, un des 10 sur papier d'Auvergne teinté, celui-ci le n° 13.
PRÉCIEUX EXEMPLAIRE ENRICHI DE DEUX ENVOIS AUTOGRAPHES SIGNÉS : de Georges Bataille à Paul Éluard : « Un livre est plutôt la chose de celui qui l’aime que de celui qui l’écrit… » et de Paul Éluard à René Char, du 1er novembre 1945 : « et j’ai ce livre génial en double et c’est à toi René Char que j’aime que je donne ce livre que j’aime tant ».
Est relié, en tête du volume, un FEUILLET AUTOGRAPHE DE GEORGES BATAILLE, signé et daté du 7 avril 1945, se terminant par ces mots « j’ai finalement à me réjouir aujourd’hui d’avoir rencontré René Char ». Pia Enfer 851 ("L'édition originale, signée elle aussi Pierre Angélique, a paru en 1941, tirée à petit nombre, sous la rubrique Éditions du Solitaire et sous la date, volontairement fausse, de 1937. Selon ce qu'a dit plus tard Georges Bataille, la rédaction de Madame Edwarda ne remonte d'ailleurs qu'aux mois de septembre et octobre 1941"); Lhermitte 62.
Provenance: Paul Éluard (envoi) - René Char (envoi).
ÉDITION ORIGINALE parue clandestinement sous un pseudonyme et avec une date fictive. Tirage à 45 exemplaires, un des 10 sur papier d'Auvergne teinté, celui-ci le n° 13.
PRÉCIEUX EXEMPLAIRE ENRICHI DE DEUX ENVOIS AUTOGRAPHES SIGNÉS : de Georges Bataille à Paul Éluard : « Un livre est plutôt la chose de celui qui l’aime que de celui qui l’écrit… » et de Paul Éluard à René Char, du 1er novembre 1945 : « et j’ai ce livre génial en double et c’est à toi René Char que j’aime que je donne ce livre que j’aime tant ».
Est relié, en tête du volume, un FEUILLET AUTOGRAPHE DE GEORGES BATAILLE, signé et daté du 7 avril 1945, se terminant par ces mots « j’ai finalement à me réjouir aujourd’hui d’avoir rencontré René Char ». Pia Enfer 851 ("L'édition originale, signée elle aussi Pierre Angélique, a paru en 1941, tirée à petit nombre, sous la rubrique Éditions du Solitaire et sous la date, volontairement fausse, de 1937. Selon ce qu'a dit plus tard Georges Bataille, la rédaction de Madame Edwarda ne remonte d'ailleurs qu'aux mois de septembre et octobre 1941"); Lhermitte 62.
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Victorine d'Arcangues