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Details
JEAN-PIERRE GIBRAT
LE VOL DU CORBEAU
INTÉGRALE, DUPUIS 2015
Croquis original, études de personnages.
Signé, 2015. Mine de plomb, encre de Chine relevé d’aquarelle.
41 × 31 cm (16,14 × 12,2 in.)
« Il y a dans les croquis une vivacité, un culot qui malheureusement s’estompent à l’exécution de l’illustration définitive, le terme “d’exécution” prenant parfois toute sa dimension. C’est désolant, mais on y échappe rarement. Le crayonné, c’est l’adolescence d’un dessin, il a une fraîcheur, une radicalité crâneuse qu’il perd à sa maturité. Paraît que les hommes subissent avec regret le même phénomène, mais ça ne console en rien. » J-P G.
… tandis que l’autre croque la chorégraphie de deux corps en mouvements : le premier qui étreint, le second qui se débat. La féminité outragée de l’héroïne s’oppose avec fougue à la brutalité glaciale du soldat.
LE VOL DU CORBEAU
INTÉGRALE, DUPUIS 2015
Croquis original, études de personnages.
Signé, 2015. Mine de plomb, encre de Chine relevé d’aquarelle.
41 × 31 cm (16,14 × 12,2 in.)
« Il y a dans les croquis une vivacité, un culot qui malheureusement s’estompent à l’exécution de l’illustration définitive, le terme “d’exécution” prenant parfois toute sa dimension. C’est désolant, mais on y échappe rarement. Le crayonné, c’est l’adolescence d’un dessin, il a une fraîcheur, une radicalité crâneuse qu’il perd à sa maturité. Paraît que les hommes subissent avec regret le même phénomène, mais ça ne console en rien. » J-P G.
… tandis que l’autre croque la chorégraphie de deux corps en mouvements : le premier qui étreint, le second qui se débat. La féminité outragée de l’héroïne s’oppose avec fougue à la brutalité glaciale du soldat.
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Lola Regard