Lot Essay
Le modèle de cette pendule a connu un grand succès sous l'époque Louis XVI. On en connaît un certain nombre de variantes. Ainsi, la lyre peut être surmontée d'un masque d'Apollon et non pas d'un bouquet de fleurs comme sur le présent exemple. Plusieurs exemplaires sont d’ailleurs illustrés par P. Kjellberg dans son Encyclopédie de la Pendule française.
Une pendule lyre similaire portant la signature de Jean-Michel Harel (reçu maître en 1753) est aujourd’hui conservée par le musée des Arts décoratifs de Paris (inv. PE 1531). Elle fut présentée à l’exposition « Chef d’œuvre de l’horlogerie » au Conservatoire des arts et métiers à Paris en 1949 sous n°192. Une seconde pendule très semblable portant la marque de l’horloger Bourdier (1774-1791) est également conservée au musée des Arts décoratifs de Paris (inv. 22561). Elle fut quant à elle présentée lors de l’exposition « Du gothique à l’Empire, chefs-d’œuvre français du Musée des arts décoratifs de Paris au Rikjsmuseum » en 1957 sous le n°302, démontrant à nouveau l’importance de ce modèle. Notons aussi une pendule lyre squelette d’un modèle parfaitement identique illustré dans l’ouvrage de P. Heuer et de K. Maurice intitulé European Pendulum Clocks. Cette pendule très finement sculptée porte sur son cadran la signature de Hubert Sarton, un horloger ayant exercé à Liège nous prouvant ainsi la forte diffusion de ce modèle très en vogue à la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème siècle.
Cette pendule porte la signature de Mathieu le Jeune. Il s’agit très probablement d’Edmé Le jeune qui exerça à Paris tout d’abord rue Mazarine puis rue Saint-Honoré entre 1772 et 1789. Bien que nous ne connaissions pas la date de sa mort nous savons qu’il produira encore au début du XIXème siècle.
Une pendule lyre similaire portant la signature de Jean-Michel Harel (reçu maître en 1753) est aujourd’hui conservée par le musée des Arts décoratifs de Paris (inv. PE 1531). Elle fut présentée à l’exposition « Chef d’œuvre de l’horlogerie » au Conservatoire des arts et métiers à Paris en 1949 sous n°192. Une seconde pendule très semblable portant la marque de l’horloger Bourdier (1774-1791) est également conservée au musée des Arts décoratifs de Paris (inv. 22561). Elle fut quant à elle présentée lors de l’exposition « Du gothique à l’Empire, chefs-d’œuvre français du Musée des arts décoratifs de Paris au Rikjsmuseum » en 1957 sous le n°302, démontrant à nouveau l’importance de ce modèle. Notons aussi une pendule lyre squelette d’un modèle parfaitement identique illustré dans l’ouvrage de P. Heuer et de K. Maurice intitulé European Pendulum Clocks. Cette pendule très finement sculptée porte sur son cadran la signature de Hubert Sarton, un horloger ayant exercé à Liège nous prouvant ainsi la forte diffusion de ce modèle très en vogue à la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème siècle.
Cette pendule porte la signature de Mathieu le Jeune. Il s’agit très probablement d’Edmé Le jeune qui exerça à Paris tout d’abord rue Mazarine puis rue Saint-Honoré entre 1772 et 1789. Bien que nous ne connaissions pas la date de sa mort nous savons qu’il produira encore au début du XIXème siècle.