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Details
JEAN-CLAUDE MÉZIÈRES
VALÉRIAN
BROOKLYN STATION - TERMINUS COSMOS (T.10),
DARGAUD 1981
Planche originale n° 41, prépubliée dans Pilote mensuel n° 85
de juin 1981. Signée. Encre de Chine sur papier
39,8 × 49,6 cm (15,67 × 19,53 in.)
À sa création, chaque aventure de Valérian et Laureline faisait visiter une planète différente au lecteur. En 1980, vient le tour de la Terre avec le diptyque Métro Châtelet direction Cassiopée et Brooklyn Station-Terminus cosmos. Ce cadre autorise davantage le second degré surtout quand, Pierre Christin fait allusion à la façon dont les médias « vendent » le sujet à leurs téléspectateurs. C’est aussi l’occasion d’une mémorable scène de ménage entre Valérian et sa belle qui vient de découvrir les velléités coupables de son compagnon. Laureline en profite pour mettre une tenue sexy avant de se lancer dans la bataille et lui assène au passage un petit couplet féministe bien senti. Mézières impressionne par son sens du découpage, multipliant les inserts, aussi à l’aise dans le passé que dans le futur, la composition ramenant malicieusement l’oeil du lecteur vers son héroïne.
VALÉRIAN
BROOKLYN STATION - TERMINUS COSMOS (T.10),
DARGAUD 1981
Planche originale n° 41, prépubliée dans Pilote mensuel n° 85
de juin 1981. Signée. Encre de Chine sur papier
39,8 × 49,6 cm (15,67 × 19,53 in.)
À sa création, chaque aventure de Valérian et Laureline faisait visiter une planète différente au lecteur. En 1980, vient le tour de la Terre avec le diptyque Métro Châtelet direction Cassiopée et Brooklyn Station-Terminus cosmos. Ce cadre autorise davantage le second degré surtout quand, Pierre Christin fait allusion à la façon dont les médias « vendent » le sujet à leurs téléspectateurs. C’est aussi l’occasion d’une mémorable scène de ménage entre Valérian et sa belle qui vient de découvrir les velléités coupables de son compagnon. Laureline en profite pour mettre une tenue sexy avant de se lancer dans la bataille et lui assène au passage un petit couplet féministe bien senti. Mézières impressionne par son sens du découpage, multipliant les inserts, aussi à l’aise dans le passé que dans le futur, la composition ramenant malicieusement l’oeil du lecteur vers son héroïne.
Brought to you by
Chloe Beauvais