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Details
BRETON, André
Ensemble de lettres et reçus autographes signés à José Corti, de 1929 à 1945
BRETON FOURNIT LES EXEMPLAIRES DE LA REVUE SURRÉALISTE ET ATTEND UN LIVRE DE JULIEN GRACQ
11 pages (1 carte postale, 6 lettres, 1 carte de visite et 2 reçus) de formats variés, 2 enveloppes. L’une des lettres est signée par André Breton mais écrite par Suzanne Muzard
Les lettres des années 1929-1930 concernent l'envoi à José Corti des numéros de la Revue Surréaliste que Breton, en instance de divorce à l’époque, ne peut adresser à son correspondant. Il lui propose donc de se mettre en rapport avec Aragon. Il demande, par ailleurs, à Corti de lui retourner « (s)on exemplaire personnel de l’érotique 1929 » qu’il demande de faire remettre à Éluard.
Dans la longue lettre de New York, du 15 septembre 1945, il s’inquiète du sort du fils de José Corti, exprime son sentiment vis-à-vis des États-Unis : « j’ai pris et continue à prendre l’Amérique pour un asile et rien de plus (songez que je persiste à ne pas parler anglais) » et indique son impatience à recevoir le livre de Julien Gracq (Le Beau Ténébreux, vraisemblablement) : « Je vais écrire à Julien Gracq, de qui j’ai vainement attendu l’ouvrage comme aucun autre ».
Ensemble de lettres et reçus autographes signés à José Corti, de 1929 à 1945
BRETON FOURNIT LES EXEMPLAIRES DE LA REVUE SURRÉALISTE ET ATTEND UN LIVRE DE JULIEN GRACQ
11 pages (1 carte postale, 6 lettres, 1 carte de visite et 2 reçus) de formats variés, 2 enveloppes. L’une des lettres est signée par André Breton mais écrite par Suzanne Muzard
Les lettres des années 1929-1930 concernent l'envoi à José Corti des numéros de la Revue Surréaliste que Breton, en instance de divorce à l’époque, ne peut adresser à son correspondant. Il lui propose donc de se mettre en rapport avec Aragon. Il demande, par ailleurs, à Corti de lui retourner « (s)on exemplaire personnel de l’érotique 1929 » qu’il demande de faire remettre à Éluard.
Dans la longue lettre de New York, du 15 septembre 1945, il s’inquiète du sort du fils de José Corti, exprime son sentiment vis-à-vis des États-Unis : « j’ai pris et continue à prendre l’Amérique pour un asile et rien de plus (songez que je persiste à ne pas parler anglais) » et indique son impatience à recevoir le livre de Julien Gracq (Le Beau Ténébreux, vraisemblablement) : « Je vais écrire à Julien Gracq, de qui j’ai vainement attendu l’ouvrage comme aucun autre ».
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Adrien Legendre
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