Lot Essay
Cette paire de candélabres est identique à quatre paires répertoriées:
- Une paire, achetée par le comte Schwarzenberg au marchand André Coquille en 1805, fut exposée en 1819 à l'Exposition Industrielle de Paris. Cette paire est actuellement conservée au Palais Schwarzenberg à Vienne. Dans une facture conservée dans les archives Schwarzenberg, cette paire, achetée le 17 janvier 1805 au prix de 14000 francs, est désignée sous le nom "les Camilles".
- Une paire très voisine est conservée au Schloss Ludwigsburg (inv. TRGT 5502-3), illustrée dans H. Ottomeyer et P. Pröschel, et al., Vergoldete Bronzen, Munich, 1986, Vol.I, p.330, fig.5.2.5 et 5.2.6.
- Une paire est conservée au Ministère des Affaires Etrangères, illustrée dans Le Quai d'Orsay, Paris, 1991, p.107.
- Une quatrième paire est conservée dans les collections de la reine d'Angleterre à Buckingham Palace, illustrée dans G. de Bellaigue, Buckingham Palace, 1968, p.194.
Une gravure de l'architecte, dessinateur et graveur Charles Pierre Joseph Normand (1765-1840) vers 1819, reproduisant le modèle de ces girandoles, tirée de Recueil d'ornements est conservée à la bibliothèque Doucet, Paris (IV B 28). Elle fut ensuite publiée dans le catalogue de l'Exposition des produits de l'industrie de 1819, H.Ottomeyer, P.Pröschel, et al., Vergoldete Bronzen, Munich, 1986, Vol.I, p.390, fig. 5.17.1.
Les figures de Diane et d'Apollon sur leur char en bronze doré ornant le socle des girandoles sont issues d'un dessin de Percier et Fontaine, Recueil de décorations intérieures, Pl. III, Paris, 1801.
- Une paire, achetée par le comte Schwarzenberg au marchand André Coquille en 1805, fut exposée en 1819 à l'Exposition Industrielle de Paris. Cette paire est actuellement conservée au Palais Schwarzenberg à Vienne. Dans une facture conservée dans les archives Schwarzenberg, cette paire, achetée le 17 janvier 1805 au prix de 14000 francs, est désignée sous le nom "les Camilles".
- Une paire très voisine est conservée au Schloss Ludwigsburg (inv. TRGT 5502-3), illustrée dans H. Ottomeyer et P. Pröschel, et al., Vergoldete Bronzen, Munich, 1986, Vol.I, p.330, fig.5.2.5 et 5.2.6.
- Une paire est conservée au Ministère des Affaires Etrangères, illustrée dans Le Quai d'Orsay, Paris, 1991, p.107.
- Une quatrième paire est conservée dans les collections de la reine d'Angleterre à Buckingham Palace, illustrée dans G. de Bellaigue, Buckingham Palace, 1968, p.194.
Une gravure de l'architecte, dessinateur et graveur Charles Pierre Joseph Normand (1765-1840) vers 1819, reproduisant le modèle de ces girandoles, tirée de Recueil d'ornements est conservée à la bibliothèque Doucet, Paris (IV B 28). Elle fut ensuite publiée dans le catalogue de l'Exposition des produits de l'industrie de 1819, H.Ottomeyer, P.Pröschel, et al., Vergoldete Bronzen, Munich, 1986, Vol.I, p.390, fig. 5.17.1.
Les figures de Diane et d'Apollon sur leur char en bronze doré ornant le socle des girandoles sont issues d'un dessin de Percier et Fontaine, Recueil de décorations intérieures, Pl. III, Paris, 1801.