Jeune fille au jardin

Writing in the Mercure de France in 1920, the critic Gustav Kahn commented: 'Les tableaux de M. Le Sidaner sont charmants. Ce n'est pas le jour, ce n'est pas le soir, ce n'est pas l't, ce n'est pas l'automne, et c'est tout de mme de la nature, mais vue travers un temprament. Zola n'admettait pas que ca dfinition ft applique ainsi; ce serait d'ailleurs la fausser. Disons la nature vue travers une motion qui prend si souvent la mme forme qu'elle en devient habituelle et se superpose au temprament jusqu' en tre l'expression. C'est d'ailleurs lgitime et M. Le Sidaner est un trs beau peintre'.

Jeune fille au jardin is a fine example of the paradox at the heart of Le Sidaner's art. While many lines have been written on the apparent 'silence' of his work - references abound to the sense of evocative absence his canvases convey - much has also been said, not least by contemporary commentators, on the seeming poetic and musical impulse that also emanates from his best work. 'C'est une dlicieuse sonatine de couleurs, ou plutt de nuances,' observed Louis Pirard in 1932, 'il semble quel'on voie et entende dans ces tableaux fleurir le silence'. Or, as Camille Mauclair describes him, although 'born out of Impressionism, [Le Sidaner] is as much the son of Verlaine than of the snowscenes of Monet'.

Yann Farinaux-Le Sidaner has confirmed the authenticity of this painting.