Lot Essay
Les numéros d'inventaire trouvés sous le plateau de cette table n'ont pu être identifiés.
Seul un numéro qui peut être lu 326? ou 346? peut être rapproché des numéros apposés par le garde-meuble de la couronne jusqu'à la fin de l'année 1784.
Les numéros 32.. ou 34.. correspondent à une livraison effectuée de 1783 à 1784.
Si ce modèle est couramment livré par Riesener, la présence d'une tablette à écrire est relativement rare et limite les livraisons aux tables suivantes :
Première table
Le 31 décembre 1783, Riesener livrait également pour la reine à Versailles sous le numéro 3314 Deux tables à écrire de bois d'acajou de 32 pouces de large sur 20 pouces de profondeur et 27 pouces de haut ayant chacune deux tiroirs dont un garni d'encrier, poudrier et boîte à éponge de cuivre argenté; le dessus garni de maroquin noir et une tablette à coulisse, entrées de serrure et anneaux, le tout de bronze doré d'or moulu. Toutefois, les cadres en bronze doré ne se retrouvent pas sur cette table.
Deuxième table
Suivant l'ordre 224 du 28 mai 1784 pour la reine Marie-Antoinette aux Tuileries dans le second cabinet du grand appartement fut livrée : Une table à écrire de bois d'acajou de 30 po de large composé d'une tablette à coulise, garni de maroquin, et un tiroir avec l'écritoire de 3 pieds argentée, le tout de bois d'accajou moucheté ornée de chapiteaux, sabots, entrées de serur et annaux, ainsi qu'une moulure formant un rebord au pour tour du dessus, le tout de bronze ciselé et doré d'or moulu pour ce 288 livres.
Cette table fut inventoriée dans l'arrière cabinet du grand appartement de Marie-Antoinette au château des Tuileries. Elle est alors décrite avec deux tiroirs et une tablette qui se tire.
Seul un numéro qui peut être lu 326? ou 346? peut être rapproché des numéros apposés par le garde-meuble de la couronne jusqu'à la fin de l'année 1784.
Les numéros 32.. ou 34.. correspondent à une livraison effectuée de 1783 à 1784.
Si ce modèle est couramment livré par Riesener, la présence d'une tablette à écrire est relativement rare et limite les livraisons aux tables suivantes :
Première table
Le 31 décembre 1783, Riesener livrait également pour la reine à Versailles sous le numéro 3314 Deux tables à écrire de bois d'acajou de 32 pouces de large sur 20 pouces de profondeur et 27 pouces de haut ayant chacune deux tiroirs dont un garni d'encrier, poudrier et boîte à éponge de cuivre argenté; le dessus garni de maroquin noir et une tablette à coulisse, entrées de serrure et anneaux, le tout de bronze doré d'or moulu. Toutefois, les cadres en bronze doré ne se retrouvent pas sur cette table.
Deuxième table
Suivant l'ordre 224 du 28 mai 1784 pour la reine Marie-Antoinette aux Tuileries dans le second cabinet du grand appartement fut livrée : Une table à écrire de bois d'acajou de 30 po de large composé d'une tablette à coulise, garni de maroquin, et un tiroir avec l'écritoire de 3 pieds argentée, le tout de bois d'accajou moucheté ornée de chapiteaux, sabots, entrées de serur et annaux, ainsi qu'une moulure formant un rebord au pour tour du dessus, le tout de bronze ciselé et doré d'or moulu pour ce 288 livres.
Cette table fut inventoriée dans l'arrière cabinet du grand appartement de Marie-Antoinette au château des Tuileries. Elle est alors décrite avec deux tiroirs et une tablette qui se tire.