Lot Essay
Presumably half of a profile of the coast of Maui
Freycinet sailed for the Sandwich or Hawaiian Islands from Guam on 4 June, arriving off Hawaii in early August, 1819. They anchored off Maui from 17-21 August before heading on to Oahu and from there south to Port Jackson
'... c'est lorsque vous avez laissé tomber l'ancre à deux encâblures de terre, sur un fond de roches et en face du village du Lahéna, que toute la majesté du sol se déploie à l'oiel ... Lahéna est un jardin; Lahéna ... est ce paradis terrestre dont les livres saints nous ont fait de si délicieuses descriptions. Mais ici, mieux que là-bas, vous n'avez pas d'arbres ou de fruits qu'on vous défende, vous n'avez pas de cabane qui vous refuse son ombre et ses nattes moelleuses, pas de voix séductrice qui vous punisse plus tard de vous être abandonné à sa mélodie, pas de colère a redouter pour une audace, pas de fatigue que celle donnée par un sommeil paisible, pas d'insectes dangereux dans les demeures, pas de reptiles dans les campagnes ouvertes, et partout sur votre tête un large et gracieux parasol de verture bruissant à l'haleine vagabonde d'un vent tout impregné d'émanations balsamiques. Lahéna est le plus beau séjour du monde.' (J. Arago, op. cit, II, pp. 135-6)
Freycinet sailed for the Sandwich or Hawaiian Islands from Guam on 4 June, arriving off Hawaii in early August, 1819. They anchored off Maui from 17-21 August before heading on to Oahu and from there south to Port Jackson
'... c'est lorsque vous avez laissé tomber l'ancre à deux encâblures de terre, sur un fond de roches et en face du village du Lahéna, que toute la majesté du sol se déploie à l'oiel ... Lahéna est un jardin; Lahéna ... est ce paradis terrestre dont les livres saints nous ont fait de si délicieuses descriptions. Mais ici, mieux que là-bas, vous n'avez pas d'arbres ou de fruits qu'on vous défende, vous n'avez pas de cabane qui vous refuse son ombre et ses nattes moelleuses, pas de voix séductrice qui vous punisse plus tard de vous être abandonné à sa mélodie, pas de colère a redouter pour une audace, pas de fatigue que celle donnée par un sommeil paisible, pas d'insectes dangereux dans les demeures, pas de reptiles dans les campagnes ouvertes, et partout sur votre tête un large et gracieux parasol de verture bruissant à l'haleine vagabonde d'un vent tout impregné d'émanations balsamiques. Lahéna est le plus beau séjour du monde.' (J. Arago, op. cit, II, pp. 135-6)