Details
STENDHAL [i.e.: Marie-Henri Beyle] (1783-1845). Lettre autographe signée (Henri) adressée à sa soeur Pauline Périer, Rome, 2 octobre 1811. 1 page in-8 (205 x 150 mm.). Adresse complète au dos et cachet de cire rouge. (Petite déchirure correspondant à la rupture du cachet de cire.)
BELLE LETTRE DANS LAQUELLE IL EXPRIME SON éMERVEILLEMENT POUR ROME.
Lors de son premier séjour en Italie en 1800, Stendhal reconnaît l'Italie comme sa patrie d'élection et y retournera à plusieurs reprises. "Je me porte bien et j'admire. J'ai vu les loges de Raphael et j'en conclus qu'il faut vendre sa chemise pour les voir quand on ne les a pas vues, pour les revoir quand on les a déjà admiré (sic). Ce qui m'a le plus touché dans mon voyage d'Italie, c'est le chant des oiseaux dans le Colisée..."
Correspondance générale (éd. V. Del Litto), t. II, p. 237.
BELLE LETTRE DANS LAQUELLE IL EXPRIME SON éMERVEILLEMENT POUR ROME.
Lors de son premier séjour en Italie en 1800, Stendhal reconnaît l'Italie comme sa patrie d'élection et y retournera à plusieurs reprises. "Je me porte bien et j'admire. J'ai vu les loges de Raphael et j'en conclus qu'il faut vendre sa chemise pour les voir quand on ne les a pas vues, pour les revoir quand on les a déjà admiré (sic). Ce qui m'a le plus touché dans mon voyage d'Italie, c'est le chant des oiseaux dans le Colisée..."
Correspondance générale (éd. V. Del Litto), t. II, p. 237.