Details
STENDHAL [i.e.: Henri Beyle]. Racine et Shakespeare. Paris: Bossange, 1825. Avec le faux-titre. (Rousseurs.)
[Relié avec:]
--Racine et Shakespeare, N°II, ou Réponse au manifeste contre le romantisme. Paris: chez les marchands de nouveautés, mars 1825. Avec le faux-titre. (Rousseurs.)
[Et:]
--D'un nouveau complot contre les industriels. Paris: Sautelet et Cie., 1825. Avec le faux-titre. (Rousseurs.) Les trois ouvrages réunis en un vol. in-8 (210 x 123 mm). Reliure de l'époque en demi-veau de Thouvenin, dos à nerfs orné (frottée). Provenance: Ex-libris de Mareste.
éDITIONS ORIGINALES des trois plaquettes que l'on rencontre rarement, surtout dans une reliure de l'époque signée. Dans les ouvrages sur Racine et Shakespeare, Stendhal expose son point de vue sur le mouvement romantique. "La première partie [de Racine et Shakespeare] de 1823, se rattache aux discussions sur l'art des romantiques lombards et du journal italien Il Conciliatore, alors qu'en France la bataille romantique n'était pas encore très vive et que le théâtre n'avait pas encore connu la bataille d'Hernani; la seconde partie, de 1825, est mordante et adroite; elle s'élève contre les affirmations antiromantiques d'Auger à l'Académie" (Laffont-Bompiani). Carteret II, 347 et 350.
[Relié avec:]
--Racine et Shakespeare, N°II, ou Réponse au manifeste contre le romantisme. Paris: chez les marchands de nouveautés, mars 1825. Avec le faux-titre. (Rousseurs.)
[Et:]
--D'un nouveau complot contre les industriels. Paris: Sautelet et Cie., 1825. Avec le faux-titre. (Rousseurs.) Les trois ouvrages réunis en un vol. in-8 (210 x 123 mm). Reliure de l'époque en demi-veau de Thouvenin, dos à nerfs orné (frottée). Provenance: Ex-libris de Mareste.
éDITIONS ORIGINALES des trois plaquettes que l'on rencontre rarement, surtout dans une reliure de l'époque signée. Dans les ouvrages sur Racine et Shakespeare, Stendhal expose son point de vue sur le mouvement romantique. "La première partie [de Racine et Shakespeare] de 1823, se rattache aux discussions sur l'art des romantiques lombards et du journal italien Il Conciliatore, alors qu'en France la bataille romantique n'était pas encore très vive et que le théâtre n'avait pas encore connu la bataille d'Hernani; la seconde partie, de 1825, est mordante et adroite; elle s'élève contre les affirmations antiromantiques d'Auger à l'Académie" (Laffont-Bompiani). Carteret II, 347 et 350.