拍品專文
Les jambes massives et droites, les visages à la longue barbe à plateau, les scarifications temporales à triple rang, ne sont pas sans évoquer les sculptures en terre-cuite dites Djenné.
Selon Jean Laude, cette œuvre historique se réfère au mythe de migration.
On notera la longue coiffure descendant jusqu'au bas de la nuque du personnage supérieur. Celle-ci est comparable à celle de deux sculptures, n° 3 et 4, reproduites par Bernard de Grunne dans l'ouvrage Mains de maîtres et qui sont attribuées au Maître d'Ireli .
Cette œuvre fondamentale dans le corpus de la statuaire Soninké allie force et fragilité, hiératisme et douceur. Elle pourrait dater du XVème-XVIème siècle.
Selon Jean Laude, cette œuvre historique se réfère au mythe de migration.
On notera la longue coiffure descendant jusqu'au bas de la nuque du personnage supérieur. Celle-ci est comparable à celle de deux sculptures, n° 3 et 4, reproduites par Bernard de Grunne dans l'ouvrage Mains de maîtres et qui sont attribuées au Maître d'Ireli .
Cette œuvre fondamentale dans le corpus de la statuaire Soninké allie force et fragilité, hiératisme et douceur. Elle pourrait dater du XVème-XVIème siècle.