细节
VIDOCQ, François-Eugène (1775-1857). Mémoires de Vidocq, chef de la police de sûreté, jusqu'en 1827, aujourd'hui propriétaire et fabricant de papiers à Saint-Mandé. Paris: Tenon, 1828-1829. 4 vol. in-8 (214 x 134 mm). Portrait de l'auteur en frontispice dans le tome IV. Percaline rouge moderne, couvertures conservées, (petite galerie de vers dans la marge inférieure des pages 49 à 64 du tome I, taches sur les couvertures, rousseurs). Provenance: ex-libris RR La Goualante. ÉDITION ORIGINALE contenant, au début du tome I, un Extrait du catalogue de Tenon, libraire. Les trois premiers volumes sont signés par Vidocq au verso du faux-titre.
[On joint du même auteur:]
--Les voleurs, physiologie de leurs moeurs et de leur langage. Ouvrage qui dévoile les ruses de tous les fripons, et destiné à devenir le Vade Mecum de tous les honnêtes gens. Paris, chez l'auteur, 1857. 2 vol. in-8 (221 x 140 mm). Un portrait de l'auteur lithographié d'après Devéria en frontispice. Percaline rouge moderne signée Thivet. ÉDITION ORIGINALE enrichie d'un prospectus de quatre feuillets de l'agence Vidocq à l'adresse rue Cloche-Perche, peu de temps avant qu'il ne la transfère rue du Pont-Louis-Philippe. Ce "vade mecum" des "honnêtes gens" est rédigé sous forme de dictionnaire. A la fin du tome II, on trouve les Considérations sommaires sur les prisons, les bagnes et la peine de mort ainsi qu'un Dictionnaire français-argot pour servir à l'intelligence du texte. Après avoir donné sa démission, en 1827, de son poste de chef de la police de sûreté, Vidocq fonda une fabrique de papier et de carton à Saint-Mandé. (6)
[On joint du même auteur:]
--Les voleurs, physiologie de leurs moeurs et de leur langage. Ouvrage qui dévoile les ruses de tous les fripons, et destiné à devenir le Vade Mecum de tous les honnêtes gens. Paris, chez l'auteur, 1857. 2 vol. in-8 (221 x 140 mm). Un portrait de l'auteur lithographié d'après Devéria en frontispice. Percaline rouge moderne signée Thivet. ÉDITION ORIGINALE enrichie d'un prospectus de quatre feuillets de l'agence Vidocq à l'adresse rue Cloche-Perche, peu de temps avant qu'il ne la transfère rue du Pont-Louis-Philippe. Ce "vade mecum" des "honnêtes gens" est rédigé sous forme de dictionnaire. A la fin du tome II, on trouve les Considérations sommaires sur les prisons, les bagnes et la peine de mort ainsi qu'un Dictionnaire français-argot pour servir à l'intelligence du texte. Après avoir donné sa démission, en 1827, de son poste de chef de la police de sûreté, Vidocq fonda une fabrique de papier et de carton à Saint-Mandé. (6)