拍品专文
Cette statue montre clairement les caractéristiques du style Niongom, qui est le premier style Dogon connu.
Le plus bel exemple de genre est celui conservé au Musée de l'Homme à Paris (Leloup, H. et al., Dogon Statuary, Strasbourg, 1995, pl.30) qui selon les auteurs est typique car il utilise la courbe naturelle de la branche, le crâne est arrondi avec une projection verticale et les bras sont sculptés le long du corps.
Lorsque la statue du Musée de l'Homme fut trouvée dans le village Yaye, elle était enterrée au trois-quarts dans le sol, son bon état de conservation est dû à l'utilisation d'un bois très dur appelé minu. Les ancêtres des villageois l'avaient trouvée ainsi et comme ils en avaient peur ne l'avaient pas déplacée, elle appartenait d'après eux aux précédents occupants de la région. Les quelques exemples qui subsistent de ce style montrent de nombreuses traces d'érosion dûes à leur ancienneté.
Le plus bel exemple de genre est celui conservé au Musée de l'Homme à Paris (Leloup, H. et al., Dogon Statuary, Strasbourg, 1995, pl.30) qui selon les auteurs est typique car il utilise la courbe naturelle de la branche, le crâne est arrondi avec une projection verticale et les bras sont sculptés le long du corps.
Lorsque la statue du Musée de l'Homme fut trouvée dans le village Yaye, elle était enterrée au trois-quarts dans le sol, son bon état de conservation est dû à l'utilisation d'un bois très dur appelé minu. Les ancêtres des villageois l'avaient trouvée ainsi et comme ils en avaient peur ne l'avaient pas déplacée, elle appartenait d'après eux aux précédents occupants de la région. Les quelques exemples qui subsistent de ce style montrent de nombreuses traces d'érosion dûes à leur ancienneté.