![BOURBON, Isabelle de (1741-1763). Meditazioni cristiane Per un Ritiramento Spirituale. [Texte français vis à vis.] Parme: Regio-Ducal Stamperia Monti; Vienne: Jean-Thomas Trattner, 1764.](https://www.christies.com/img/LotImages/2004/PAR/2004_PAR_05071_0054_000(084710).jpg?w=1)
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BOURBON, Isabelle de (1741-1763). Meditazioni cristiane Per un Ritiramento Spirituale. [Texte français vis à vis.] Parme: Regio-Ducal Stamperia Monti; Vienne: Jean-Thomas Trattner, 1764.
In-12 (161 x 98 cm). Texte en français et en italien, dans un encadrement de double filet gras et maigre gravé sur bois, (deux larges mouillures tout au long du volume, et autres traces d'humidité).
RELIURE DE L'éPOQUE: maroquin vert olive, dentelle de gros fers rocaille, dont une grande fleur dessinée au trait répétée dans les angles, agrémentée d'étoiles, fleurettes, pastilles, dos lisse orné de fleurs et feuillage dans les angles, au contreplat large encadrement du même maroquin orné d'un semé de grands fers en parenthèses (lunes?) accompagnés d'étoiles et pastilles, fers à l'éventail dans les angles, doublure et gardes de soie rose, tranches dorées, (dos passé, contreplats affectés par la mouillure, angles légèrement frottés).
Edition posthume bilingue, en langue française et italienne, portant les adresses de Parme et de Vienne, des Méditations chrétiennes d'Isabelle de Bourbon-Parme, la petite-fille de Louis XV, fille de Madame Première. Elle mena la vie d'une grande impératrice réformiste aux côtés de Joseph II qui nourrit pour elle une passion aveugle. Isabelle vécut des sentiments analogues pour sa belle-soeur l'archiduchesse Marie-Christine; les tourments que lui causa le conflit entre sa foi profonde et ses relations lesbiennes l'entraînent vers une mort rapide, qu'elle ne cesse, dans ses Méditations chrétiennes d'appeler de ses voeux.
CURIEUSE RELIURE, ITALIENNE OU AUTRICHIENNE, AU DÉCOR FLORAL, où l'on remarque la grosse fleur dessinée au trait frappée dans les angles, les fers végétaux très contournés, les fleurs sur tiges et les étoiles, disposés du plus large au plus fin. Le contreplat est décoré d'un semé de fers astronomiques, comprenant étoiles et lune. On pourrait également l'attribuer à un atelier français de moindre importance. Le travail est peu soigné, la plupart des fers dorés de guingois.
In-12 (161 x 98 cm). Texte en français et en italien, dans un encadrement de double filet gras et maigre gravé sur bois, (deux larges mouillures tout au long du volume, et autres traces d'humidité).
RELIURE DE L'éPOQUE: maroquin vert olive, dentelle de gros fers rocaille, dont une grande fleur dessinée au trait répétée dans les angles, agrémentée d'étoiles, fleurettes, pastilles, dos lisse orné de fleurs et feuillage dans les angles, au contreplat large encadrement du même maroquin orné d'un semé de grands fers en parenthèses (lunes?) accompagnés d'étoiles et pastilles, fers à l'éventail dans les angles, doublure et gardes de soie rose, tranches dorées, (dos passé, contreplats affectés par la mouillure, angles légèrement frottés).
Edition posthume bilingue, en langue française et italienne, portant les adresses de Parme et de Vienne, des Méditations chrétiennes d'Isabelle de Bourbon-Parme, la petite-fille de Louis XV, fille de Madame Première. Elle mena la vie d'une grande impératrice réformiste aux côtés de Joseph II qui nourrit pour elle une passion aveugle. Isabelle vécut des sentiments analogues pour sa belle-soeur l'archiduchesse Marie-Christine; les tourments que lui causa le conflit entre sa foi profonde et ses relations lesbiennes l'entraînent vers une mort rapide, qu'elle ne cesse, dans ses Méditations chrétiennes d'appeler de ses voeux.
CURIEUSE RELIURE, ITALIENNE OU AUTRICHIENNE, AU DÉCOR FLORAL, où l'on remarque la grosse fleur dessinée au trait frappée dans les angles, les fers végétaux très contournés, les fleurs sur tiges et les étoiles, disposés du plus large au plus fin. Le contreplat est décoré d'un semé de fers astronomiques, comprenant étoiles et lune. On pourrait également l'attribuer à un atelier français de moindre importance. Le travail est peu soigné, la plupart des fers dorés de guingois.