GRETRY, André Ernest Modeste (1741-1813). Oeuvre VIIe. Zemire et Azor. Comédie-ballet En Vers et en Quatre Actes. Représentée devant sa Majesté à Fontainebleau le 9 novemb. 1771. et à la Comédie Italienne le lundi 16 Décembre 1771. Paris: imprimé par Montulay, pour Houbaut, [ca. 1771].
GRETRY, André Ernest Modeste (1741-1813). Oeuvre VIIe. Zemire et Azor. Comédie-ballet En Vers et en Quatre Actes. Représentée devant sa Majesté à Fontainebleau le 9 novemb. 1771. et à la Comédie Italienne le lundi 16 Décembre 1771. Paris: imprimé par Montulay, pour Houbaut, [ca. 1771].

細節
GRETRY, André Ernest Modeste (1741-1813). Oeuvre VIIe. Zemire et Azor. Comédie-ballet En Vers et en Quatre Actes. Représentée devant sa Majesté à Fontainebleau le 9 novemb. 1771. et à la Comédie Italienne le lundi 16 Décembre 1771. Paris: imprimé par Montulay, pour Houbaut, [ca. 1771].

Grand in-4 (338 x 250 mm). Entièrement gravé par J. Dezauche. (Papier légèrement jauni.)

RELIURE DE L'éPOQUE: maroquin rouge, large dentelle dorée aux petits fers, aux armes d'Emmanuel-Félicité de Durfort, duc de Duras (Olivier 1, fer 2, légèrement différent), dos à cinq nerfs orné aux petits fers dorés, pièce de titre de maroquin citron, tranches dorées, (infimes usures).

PROVENANCE: Emmanuel-Félicité de Durfort, duc de Duras (armoiries sur les plats) -- Edmond de Goncourt (inscription autographe à l'encre rouge sur une garde), vente à Paris, 29 mars-3 avril 1897, lot 532 -- Baron Van Zuylen (vente à Londres, 21-22 mars 1929, lot 174) -- Sir Robert Abdy (ex-libris), vente I à Paris, 10-11 juin 1975, lot 144.

ÉDITION ORIGINALE, entièrement gravée et dédiée à la comtesse Du Barry. Le texte est de Marmontel. Grétry est, "avec Duni, Philidor et Monsigny, qui le précédèrent de quelques années, l'un des créateurs du genre de l'opéra comique français... et l'une des gloires de scène lyrique française" (Hoefer). La comédie Zémire et Azor est son oeuvre qui remporta le plus grand succès. BEL EXEMPLAIRE AUX ARMES D'EMMANUEL-FéLICITé DE DURFORT, DUC DE DURAS (1715-1789); la toison d'or fut ajoutée à main levée. Le duc de Duras avait en effet pour habitude de faire rajouter au fur et à mesure à ses armes les insignes de ses diverses distinctions. Paul Culot, La partition du Didon de Niccolo Piccimini, 1784, en reliure "à la dentelle" frappée aux armoiries de Marie-Antoinette, reine de France. In "Bulletin du Bibliophile", 1999, p.154-162, exemplaire cité p. 161.