![CHAMPOLLION, Jean-François, dit le Jeune (1790-1832). Lettre autographe signée adressée "à Monsieur de la Valette à Grenoble". S.l.n.d. [1821 ?]. In-4 (241 x 198 mm). (Rédigée sur papier bleu avec trace de cachet).](https://www.christies.com/img/LotImages/2004/PAR/2004_PAR_05091_0017_000(085455).jpg?w=1)
细节
CHAMPOLLION, Jean-François, dit le Jeune (1790-1832). Lettre autographe signée adressée "à Monsieur de la Valette à Grenoble". S.l.n.d. [1821 ?]. In-4 (241 x 198 mm). (Rédigée sur papier bleu avec trace de cachet).
RARE LETTRE AUTOGRAPHE DU CÉLÈBRE ARCHÉOLOGUE.
Champollion le jeune s'adresse à son ami le marquis Charles Planelli de la Valette, né à Grenoble en 1763 et maire de sa ville natale de 1820 à 1824. La lettre n'est malheureusement pas datée mais on peut supposer qu'elle précède de peu l'année 1822 durant laquelle l'archéologue lut à l'Académie des inscriptions son célèbre mémoire intitulé Lettre à M. Dacier... donnant ainsi la clé de l'alphabet des hiéroglyphes. En effet avant cette date, il se déplace entre Paris et Grenoble (d'où il avait été expulsé entre 1816 et 1817 pour ses activités anti-royalistes) et est déjà affaibli par la maladie comme le confirme cette lettre "mon facheux état de santé empirant chaque jour, je me décide fort brusquement à partir pour Paris; la distraction operera peut être quelque bien sur mon pauvre corps..."
RARE LETTRE AUTOGRAPHE DU CÉLÈBRE ARCHÉOLOGUE.
Champollion le jeune s'adresse à son ami le marquis Charles Planelli de la Valette, né à Grenoble en 1763 et maire de sa ville natale de 1820 à 1824. La lettre n'est malheureusement pas datée mais on peut supposer qu'elle précède de peu l'année 1822 durant laquelle l'archéologue lut à l'Académie des inscriptions son célèbre mémoire intitulé Lettre à M. Dacier... donnant ainsi la clé de l'alphabet des hiéroglyphes. En effet avant cette date, il se déplace entre Paris et Grenoble (d'où il avait été expulsé entre 1816 et 1817 pour ses activités anti-royalistes) et est déjà affaibli par la maladie comme le confirme cette lettre "mon facheux état de santé empirant chaque jour, je me décide fort brusquement à partir pour Paris; la distraction operera peut être quelque bien sur mon pauvre corps..."