Lot Essay
Ce modèle témoigne par ses formes déchiquetées et tout en mouvement, et par la présence du dromadaire et du personnage persan, du goût pour le rocaille et pour l'exotisme culminant dans les années 1740.
Plusieurs exemplaires sont connus. Parmi ceux-ci, citons:
- vente à Versailles, le 21 juin 1998, puis collection Djahanguir Riahi, le cadran signé de Brindeau
- collection du musée du Louvre, également de Brindeau à Paris (M.Jarry, Chinoiseries, Fribourg, 1981, p. 207)
- ancienne collection de la comtesse de la Baume-Pluvinel, puis vente à Paris, hôtel Drouot, le 29 juin 1992, lot 61, exposée au Musée des Arts Décoratifs à Paris en 1910, n° 133
- vente à Paris, hôtel George V, le 9 novembre 1991, lot 44, le mouvement signé de Noël Balthazar.
François Ageron
Reçu maître en 1741, il s'établit place du Pont Saint-Michel, puis quai des Augustins (1747), rue Saint-Louis au Palais (1752), place Dauphine (1763). Il signa de nombreuses pendules et montres. Horloger réputé il utilisa des caisses de bronziers de renom tels que Jacques et Philippe Caffieri, Jean-Joseph de Saint Germain et Osmond. Ses oeuvres figurèrent chez la marquise de Montesquiou, mademoiselle Laguerre, les ducs des Deux-Ponts et de Rohan, le marquis de Dupleix, gouverneur des Indes Françaises et M. Bonnemet.
Plusieurs exemplaires sont connus. Parmi ceux-ci, citons:
- vente à Versailles, le 21 juin 1998, puis collection Djahanguir Riahi, le cadran signé de Brindeau
- collection du musée du Louvre, également de Brindeau à Paris (M.Jarry, Chinoiseries, Fribourg, 1981, p. 207)
- ancienne collection de la comtesse de la Baume-Pluvinel, puis vente à Paris, hôtel Drouot, le 29 juin 1992, lot 61, exposée au Musée des Arts Décoratifs à Paris en 1910, n° 133
- vente à Paris, hôtel George V, le 9 novembre 1991, lot 44, le mouvement signé de Noël Balthazar.
François Ageron
Reçu maître en 1741, il s'établit place du Pont Saint-Michel, puis quai des Augustins (1747), rue Saint-Louis au Palais (1752), place Dauphine (1763). Il signa de nombreuses pendules et montres. Horloger réputé il utilisa des caisses de bronziers de renom tels que Jacques et Philippe Caffieri, Jean-Joseph de Saint Germain et Osmond. Ses oeuvres figurèrent chez la marquise de Montesquiou, mademoiselle Laguerre, les ducs des Deux-Ponts et de Rohan, le marquis de Dupleix, gouverneur des Indes Françaises et M. Bonnemet.