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[AUTOMMARCHI, docteur François] -- Réunion de 4 documents relatifs à la demande de pension du docteur Autommarchi, médecin de Napoléon Ier.
APRÈS LA MORT DE NAPOLÉON, LE DOCTEUR AUTOMMARCHI QUI L'AVAIT SOIGNÉ À SAINTE-HÉLÈNE RÉCLAME LA PENSION QUE LUI AVAIT PROMISE L'EMPEREUR.
Lettre signée "Autommarchi", située et datée "Paris ce 11 avril 1823". 2 pages et demie in-folio (313 x 202 mm) sur un double feuillet. Encre noire sur papier. (Infimes rousseurs.) "Le docteur Autommarchi dernier chirurgien de l'empereur a l'honneur de vous exposer que pour aller à Ste Hélène donner ses soins à l'empereur Napoléon il a quitté à Florence sa place qui lui donnait environ 4000 francs [...] L'empereur dans ses derniers moments voulant donner à son médecin un témoignage de sa satisfaction pour ses services chargea l'Impératrice de lui faire une pension de 6000 francs". Cette demande d'Autommarchi est approuvée et signée par Montholon, Bertrand, Las Cases, Drouot, etc. qui ont respectivement accompagné leur signatures de quelques lignes d'approbation.
[On joint:] --"Rapport à Messieurs les arbitres", signé de Montholon et contresigné par Bertrand et Marchand, situé et daté "Paris ce 6 mai 1823". Une page et demie in-folio (312 x 198) sur un double feuillet. Encre brune sur papier. Le rapport mentionne le versement de l'indemnité de 6000 francs et suggère en outre d'allouer au docteur Autommarchi une indemnité de 7500 francs.
--Deux lettres autographes signées du docteur Autommarchi adressées au général comte Bertrand, des 12 juillet 1826 (3 pages in-8) et 27 juillet 1826 (2 pages in-8) portant chacune la suscription" "à Monsieur Monsieur le comte Bertrand Dépt de l'Indre à Chateauroux". La demande de pension n'ayant toujours pas aboutie, Autommarchi implore l'aide de Bertrand. " C'est le général Montholon qu'use ma patience et pousse à bout mon désespoir [...]. Je suis aux abois sans argent sans capital et sans pension". INTÉRESSANT ENSEMBLE. (4)
APRÈS LA MORT DE NAPOLÉON, LE DOCTEUR AUTOMMARCHI QUI L'AVAIT SOIGNÉ À SAINTE-HÉLÈNE RÉCLAME LA PENSION QUE LUI AVAIT PROMISE L'EMPEREUR.
Lettre signée "Autommarchi", située et datée "Paris ce 11 avril 1823". 2 pages et demie in-folio (313 x 202 mm) sur un double feuillet. Encre noire sur papier. (Infimes rousseurs.) "Le docteur Autommarchi dernier chirurgien de l'empereur a l'honneur de vous exposer que pour aller à Ste Hélène donner ses soins à l'empereur Napoléon il a quitté à Florence sa place qui lui donnait environ 4000 francs [...] L'empereur dans ses derniers moments voulant donner à son médecin un témoignage de sa satisfaction pour ses services chargea l'Impératrice de lui faire une pension de 6000 francs". Cette demande d'Autommarchi est approuvée et signée par Montholon, Bertrand, Las Cases, Drouot, etc. qui ont respectivement accompagné leur signatures de quelques lignes d'approbation.
[On joint:] --"Rapport à Messieurs les arbitres", signé de Montholon et contresigné par Bertrand et Marchand, situé et daté "Paris ce 6 mai 1823". Une page et demie in-folio (312 x 198) sur un double feuillet. Encre brune sur papier. Le rapport mentionne le versement de l'indemnité de 6000 francs et suggère en outre d'allouer au docteur Autommarchi une indemnité de 7500 francs.
--Deux lettres autographes signées du docteur Autommarchi adressées au général comte Bertrand, des 12 juillet 1826 (3 pages in-8) et 27 juillet 1826 (2 pages in-8) portant chacune la suscription" "à Monsieur Monsieur le comte Bertrand Dépt de l'Indre à Chateauroux". La demande de pension n'ayant toujours pas aboutie, Autommarchi implore l'aide de Bertrand. " C'est le général Montholon qu'use ma patience et pousse à bout mon désespoir [...]. Je suis aux abois sans argent sans capital et sans pension". INTÉRESSANT ENSEMBLE. (4)
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