拍品专文
Cette gouache fait référence à la légende des enfants du roi Mérovingien Clovis II châtiés pour avoir tenté en l'absence de leur père de comploter contre lui. Pour les punir, ils subissent le supplice de l'énervation qui consistait à bouillir les jambes des condamnés. Puis ils sont installés sur un radeau, les confiant à la providence. Ils dérivent jusqu'à l'abbaye de Jumièges qui les recueille. Cette épopée a été reprise par de nombreux écrivains, tel en 1564 par Pierre de Ronsard dans le chant IV de la Franciade.