Lot Essay
La bataille d'Iéna s'est déroulée le 14 octobre 1806 à Iéna dans le Sud du duché de Saxe et s'est achevée par une victoire écrasante des Français, commandés par Napoléon, sur les Prussiens.
Meissonier s'est surtout illustré sous le Second empire par ses grands cycles de peinture napoléonienne. C'est au sommet de sa gloire officielle qu'il a peint Octobre 1806, Iéna à la fin de sa vie entre 1887 et 1889. Présente à l'inauguration du Salon de la Société nationale des Beaux Arts, ce fut sa dernière oeuvre exposée.
D'après l'inscription au verso, il se serait inspiré du cheval Skobeleff, cheval blanc très célèbre à l'époque qui portait le nom du fameux général russe surnommé " le général blanc " (1843-1882) qui s'est illustré dans la guerre russo-turque de 1877-78. Il semblerait que Meissonier se soit rendu deux matinées à l'Hippodrome pour observer lui-même le cheval car il était tout à fait captivé par les attitudes des animaux en mouvement. Artiste consciencieux, il s'appliquait à enrichir ses tableaux en incorporant des accessoires strictement véridiques dans les scènes qu'il représentait.
Il existe de similaires esquisses sur panneau figurant des chevaux dans les collections des musées d'Orsay et Bonnat.
Meissonier s'est surtout illustré sous le Second empire par ses grands cycles de peinture napoléonienne. C'est au sommet de sa gloire officielle qu'il a peint Octobre 1806, Iéna à la fin de sa vie entre 1887 et 1889. Présente à l'inauguration du Salon de la Société nationale des Beaux Arts, ce fut sa dernière oeuvre exposée.
D'après l'inscription au verso, il se serait inspiré du cheval Skobeleff, cheval blanc très célèbre à l'époque qui portait le nom du fameux général russe surnommé " le général blanc " (1843-1882) qui s'est illustré dans la guerre russo-turque de 1877-78. Il semblerait que Meissonier se soit rendu deux matinées à l'Hippodrome pour observer lui-même le cheval car il était tout à fait captivé par les attitudes des animaux en mouvement. Artiste consciencieux, il s'appliquait à enrichir ses tableaux en incorporant des accessoires strictement véridiques dans les scènes qu'il représentait.
Il existe de similaires esquisses sur panneau figurant des chevaux dans les collections des musées d'Orsay et Bonnat.