拍品专文
La famille Imhoff est une très importante famille patricienne de Nuremberg.
Andreas Imhoff, ayant vécu à Venise de 1504 à 1509, commande, vers 1520, après avoir épousé Ursula Schlaudersbach (décédée en 1525), un service en majolique de Venise avec la représentation de leurs deux armoiries dans un décor alla porcellane' influencé par les porcelaines chinoises. Pour l'illustration d'un plat de ce service, voir par Bernard Rackham, Islamic Pottery and Italian Maiolica, n.208.
Un autre membre de cette famille, Hans III Imhoff (1563-1629), épouse en premières noces Anna Maria Baumgartner von Holenstein en 1595. Après le décès de sa première épouse en 1597, il épouse la même année en secondes noces Anna Maria Schmidtmer von Schwarzenbruck. Il commande alors un service arborant les armoiries de ses deux épouses dans l'atelier des Patanazzi dont provient notre lot. Pour deux exemples de ce second service, voir par Johanna Lessmann, Italienische Majolika, Herzog Anton Ulrich-Museum Braunschweig, Braunschweig, 1979, p. 242, n.265 et p.574, n.XXXI. Il existe également une assiette et un broc dans les collections du Musée Kunstgewerbe de Berlin avec les mêmes armoiries, mais avec un décor un peu différent également de l'atelier des Patanazzi.
Andreas Imhoff, ayant vécu à Venise de 1504 à 1509, commande, vers 1520, après avoir épousé Ursula Schlaudersbach (décédée en 1525), un service en majolique de Venise avec la représentation de leurs deux armoiries dans un décor alla porcellane' influencé par les porcelaines chinoises. Pour l'illustration d'un plat de ce service, voir par Bernard Rackham, Islamic Pottery and Italian Maiolica, n.208.
Un autre membre de cette famille, Hans III Imhoff (1563-1629), épouse en premières noces Anna Maria Baumgartner von Holenstein en 1595. Après le décès de sa première épouse en 1597, il épouse la même année en secondes noces Anna Maria Schmidtmer von Schwarzenbruck. Il commande alors un service arborant les armoiries de ses deux épouses dans l'atelier des Patanazzi dont provient notre lot. Pour deux exemples de ce second service, voir par Johanna Lessmann, Italienische Majolika, Herzog Anton Ulrich-Museum Braunschweig, Braunschweig, 1979, p. 242, n.265 et p.574, n.XXXI. Il existe également une assiette et un broc dans les collections du Musée Kunstgewerbe de Berlin avec les mêmes armoiries, mais avec un décor un peu différent également de l'atelier des Patanazzi.