拍品专文
Victor Gilbert met en scène la vie parisienne de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Il porte son attention sur les élégantes, les vues animées de Paris, les marchandes de fleurs. D'une inspiration réaliste, il s'attache particulièrement aux petits détails pittoresques. Victor Gilbert traite Paris comme un théâtre où chaque individu a un rôle dans cette production de vie.
Dans cette lumineuse aquarelle, l'artiste nous montre une scène de genre de la vie quotidienne dont émane un charme paisible et serein.
Les immeubles, les messieurs en haut-de-forme et l'atmosphère douce et tranquille de la place à l'arrière-plan, nous informent que nous sommes dans un quartier bourgeois, comme le confirme la tenue de la jeune femme à l'ombrelle, apprêtée mais sobre pour la promenade, et sans affèterie. Chapeaux et gants complètent cette tenue, accessoires indispensables de la respectabilité et signe de l'oisiveté, qui tranchent avec celle de la jeune fleuriste "en cheveux" et mains nues, qui tend un bouquet de lilas ou de violettes, en harmonie avec la couleur puce de la robe de l'acheteuse.
Dans cette lumineuse aquarelle, l'artiste nous montre une scène de genre de la vie quotidienne dont émane un charme paisible et serein.
Les immeubles, les messieurs en haut-de-forme et l'atmosphère douce et tranquille de la place à l'arrière-plan, nous informent que nous sommes dans un quartier bourgeois, comme le confirme la tenue de la jeune femme à l'ombrelle, apprêtée mais sobre pour la promenade, et sans affèterie. Chapeaux et gants complètent cette tenue, accessoires indispensables de la respectabilité et signe de l'oisiveté, qui tranchent avec celle de la jeune fleuriste "en cheveux" et mains nues, qui tend un bouquet de lilas ou de violettes, en harmonie avec la couleur puce de la robe de l'acheteuse.