拍品專文
Une paire d'appliques du même modèle que celles-ci, bien que présentant une plaque à pans coupés derrière la tête de l'aigle, est illustrée dans G. et R. Wannenes, Les bronzes ornementaux et les objets montés de Louis XIV à Napoléon III, Milan, 2004, p. 390.
Les bronziers de l'Empire ont très souvent eu recours au répertoire décoratif animalier pour le dessin de leurs appliques, employant ainsi cygnes, griffons et autres lions. On connaît d'ailleurs un modèle approchant quoique très simplifié de ces appliques, modèle dans lequel le serpent est remplacé par un simple anneau mouluré. Plusieurs appliques de ce modèle ont été livrées par Thomire en 1810 pour le petit appartement de Napoléon à Fontainebleau (illustré dans J. P. Samoyault, Musée National du Château de Fontainebleau. Pendules au bronzes d'ameublement entrés sous le Premier Empire, Paris, 1989, p. 145).
Les bronziers de l'Empire ont très souvent eu recours au répertoire décoratif animalier pour le dessin de leurs appliques, employant ainsi cygnes, griffons et autres lions. On connaît d'ailleurs un modèle approchant quoique très simplifié de ces appliques, modèle dans lequel le serpent est remplacé par un simple anneau mouluré. Plusieurs appliques de ce modèle ont été livrées par Thomire en 1810 pour le petit appartement de Napoléon à Fontainebleau (illustré dans J. P. Samoyault, Musée National du Château de Fontainebleau. Pendules au bronzes d'ameublement entrés sous le Premier Empire, Paris, 1989, p. 145).