拍品专文
Ce modèle sera présenté, lors de l'ouverture de la galerie Schiaparelli, au 21, Place vendôme, à Paris, en 1935
Proche des grands créateurs des années 1940, Lina Zervudaki est restée trés discrète sur ses réalisations dans lesquelles elle s'applique à travailler des matières inhabituelles pour l'époque, comme le rotin ou l'osier. S'intéressant à des techniques aussi diverses que l'affiche, la peinture ou encore la scénographie, elle se tourne finalement vers le décor, les costumes ou encore les éléments de vitrine. Lorsqu'en 1935, Elsa Schiaparelli ouvre sa galerie, Place Vendôme, à Paris, elle expose les oeuvres de Lina Zervudaki, mêlées aux créations d'Alberto et Diego Giacometti, dans un décor de Jean-Michel Frank. Son inventivité lui apporte beaucoup de succès, ce qui lui vaudra de participer à l'aménagement du Pavillon de l'Elégance, à l'Exposition Internationale de 1937. Sa rencontre avec Serge Roche date de l'après-guerre, au moment où elle est à l'apogée de son art. Elle réalisera pour lui différents meubles et objets
Proche des grands créateurs des années 1940, Lina Zervudaki est restée trés discrète sur ses réalisations dans lesquelles elle s'applique à travailler des matières inhabituelles pour l'époque, comme le rotin ou l'osier. S'intéressant à des techniques aussi diverses que l'affiche, la peinture ou encore la scénographie, elle se tourne finalement vers le décor, les costumes ou encore les éléments de vitrine. Lorsqu'en 1935, Elsa Schiaparelli ouvre sa galerie, Place Vendôme, à Paris, elle expose les oeuvres de Lina Zervudaki, mêlées aux créations d'Alberto et Diego Giacometti, dans un décor de Jean-Michel Frank. Son inventivité lui apporte beaucoup de succès, ce qui lui vaudra de participer à l'aménagement du Pavillon de l'Elégance, à l'Exposition Internationale de 1937. Sa rencontre avec Serge Roche date de l'après-guerre, au moment où elle est à l'apogée de son art. Elle réalisera pour lui différents meubles et objets