Lot Essay
Une pendule très comparable à la nôtre, présentant le même cadran signé de Coteau mais inscrit dans une caisse ornée de moins de bronze et dépourvue d'une base en marbre est illustrée dans Tardy, La Pendule Française dans le Monde, Deuxième partie, éditions Tardy, 1985, p. 201. Son mouvement est quant à lui signé de Robin. Elle est mentionnée comme "Très beau régulateur à équation et à remontoir d'égalité - cadran avec quantième du mois et signes du Zodiaque - signé de Coteau. Le plus grand peintre émailleur en cadran de pendule de tous les temps jamais égalé."
Un cadran comparable au nôtre, signé de Coteau et daté 1782, mais percé en son centre pour découvrir un mouvement à squelette, est illustré dans P. Kjellberg, Encyclopédie de la Pendule Française, Les Les Editions de l'Amateur, 1997, Paris, p. 312.
Joseph Coteau (1740-1812) est sans doute le plus célèbre émailleur de son époque. Né à Gênes, il devint maître-peintre-émailleur de l'Académie de Saint Luc à Genève en 1766. En 1772, il s'installa rue Poupée à Paris où il fournit les plus grands horlogers. Coteau est autant admiré pour ses cadrans que pour ses talents de miniaturiste. Il mit au point une nouvelle technique pour fixer l'or sur la porcelaine que la Manufacture de Sèvres utilise sous le nom "d'émail de Coteau".
Un cadran comparable au nôtre, signé de Coteau et daté 1782, mais percé en son centre pour découvrir un mouvement à squelette, est illustré dans P. Kjellberg, Encyclopédie de la Pendule Française, Les Les Editions de l'Amateur, 1997, Paris, p. 312.
Joseph Coteau (1740-1812) est sans doute le plus célèbre émailleur de son époque. Né à Gênes, il devint maître-peintre-émailleur de l'Académie de Saint Luc à Genève en 1766. En 1772, il s'installa rue Poupée à Paris où il fournit les plus grands horlogers. Coteau est autant admiré pour ses cadrans que pour ses talents de miniaturiste. Il mit au point une nouvelle technique pour fixer l'or sur la porcelaine que la Manufacture de Sèvres utilise sous le nom "d'émail de Coteau".