拍品专文
En 1949, après avoir exposé à la galerie Derche de Casablanca un ensemble d'oeuvres provenant de son voyage en Afrique Noire, Jacques Majorelle éprouve de nouveau le besoin de s'évader dans le Haut Atlas. Il choisit cette fois de préparer son expédition aux alentours de Ouarzazate, dont le nom signifie "sans bruit" en arabe. L'artiste connaît bien cette région, pour l'avoir longuement sillonée pendant les années 1920. L'architecture de Ouarzazate, en particulier, lui a toujours été très chère, et lui a inspiré quatre des trente planches représentant ses Kasbahs de l'Atlas, parues en 500 exemplaires en 1930 (c.f. lot ___).
La saisissante vue de Ouarzazate présentée ici, fait partie de la production de Jacques Majorelle datant de cette expédition de 1949-1950. Tout comme les autres gouaches de cette époque, elle se différencie du style de l'artiste datant des années 1920 par l'utilisation d'une palette plus maîtrisée, aux tons moins criards, et une extrême finesse du trait. La précision y est quasi-photographique, comme le suggère la comparaison avec une carte postale de l'époque (Fig. 1).
Cette Kasbah de Ouarzazate, aux dimensions exceptionnelles, a été directement acquise auprès de l'atelier de Jacques Majorelle et est restée dans la famille du propriétaire jusqu'à ce jour.
La saisissante vue de Ouarzazate présentée ici, fait partie de la production de Jacques Majorelle datant de cette expédition de 1949-1950. Tout comme les autres gouaches de cette époque, elle se différencie du style de l'artiste datant des années 1920 par l'utilisation d'une palette plus maîtrisée, aux tons moins criards, et une extrême finesse du trait. La précision y est quasi-photographique, comme le suggère la comparaison avec une carte postale de l'époque (Fig. 1).
Cette Kasbah de Ouarzazate, aux dimensions exceptionnelles, a été directement acquise auprès de l'atelier de Jacques Majorelle et est restée dans la famille du propriétaire jusqu'à ce jour.