Jacques Le Chevallier (1896-1987) et René Koechlin (1866-1951)
Jacques Le Chevallier (1896-1987) et René Koechlin (1866-1951)

PAIRE D'APPLIQUES À PEIGNES 'N. 52', 1928

Details
Jacques Le Chevallier (1896-1987) et René Koechlin (1866-1951)
Paire d'appliques à peignes 'n. 52', 1928
En aluminium, composée de trois plaques assemblées formant râteau et enserrant un déflecteur, à décor de quatre peignes ajourés le long des bords, la plaque de fixation rectangulaire en ébonite
Hauteur : 19,4 cm. (7½ in.) ; Largeur : 17 cm. (6¾ in.) ; Profondeur : 17 cm. (6¾ in.)
Chacune signée du cartouche de l'artiste 'TYPE, JLC, NO, R, K, DEPOSE, MADE IN FRANCE' sur un côté (2) (2)
Provenance
Collection privée, Paris ;
Galerie Doria, Paris.
Further details
A pair of aluminium and ebonite appliques, with adjustable reflectors, by Jacques Le Chevallier and René Koechlin, circa 1930, both signed with impressed designer's cartouche to side

René Koechlin conceived this wall light when he realised the potential of the band saw to cut metal. His altenation of slender solids and voids diffused the light while preserving its brillance. He developed the principle for ceiling lights, Ns. 54 and 56, and Le Chevallier ensured that the models could be ordered as a matching set.
Examples of this design were exhibited at the XXème Salon d'Automne in 1928.

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Lot Essay

Cf. : Jean Prouvé, Le Métal dans L'Art International d'Aujourd'hui, id., pl. 22 ;
Jean-François Archieri, Jacques Le Chevallier 1896-1987, La lumière moderne, id., p. 90

René Koechlin cnçoit l'idée de ce modèle d'applique en découvrant les possibilités d'une scie à ruban pour la découpe du métal. Il crée des dents qui, associées aux parties pleines des parois, permettent une diffusion scintillante et douce de la lumière, tout en revêtant un caractère plastique. Il en reprendra le principe pour dessiner des plafonniers, modèles n. 54 et 56, dont Jacques Le Chevallier assurera "l'ordonnancement d'ensemble".

Le modèle est exposé au XXIème Salon d'Automne, Paris, en 1928.

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