Lot Essay
Brice Péridiez était connu comme Péridiez le père. Il eut trois fils ébénistes, Gérard, Louis et Pierre-Mathieu. Il travailla notamment pour son confrère Pierre IV Migeon (vois S. Mouquin, Pierre IV Migeon, Paris, 2001, p. 31).
On sait que Brice Péridiez disparut avant 1758 (son fils Gérard ayant dû renoncer à la succession paternelle le 3 mars 1758).
Son estampille se trouve sur deux armoires en vernis Martin façon laque et bois de rose qui appartinrent à Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, collection de Mademoiselle de Choiseul et du duc de Mortemart-Rochechouart, vente à Paris, galerie Georges Petit, étude Chevallier, le 21 mai 1896, lots 5 et 6, vendues 15.100 Francs chaque. Une autre paire - probablement celle-là même - a fait partie des collections de monsieur Francis Guerault, vente à Paris, étude Bellier, les 21-22 mars 1935, lot 87 et a été vendue 270.500 Francs à Monsieur Ancel. Enfin, une autre armoire de Péridiez comparable a été vendue chez Christie's Paris, le 13 décembre 2006, lot 238, adjugée 224.800 euros.
On sait que Brice Péridiez disparut avant 1758 (son fils Gérard ayant dû renoncer à la succession paternelle le 3 mars 1758).
Son estampille se trouve sur deux armoires en vernis Martin façon laque et bois de rose qui appartinrent à Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, collection de Mademoiselle de Choiseul et du duc de Mortemart-Rochechouart, vente à Paris, galerie Georges Petit, étude Chevallier, le 21 mai 1896, lots 5 et 6, vendues 15.100 Francs chaque. Une autre paire - probablement celle-là même - a fait partie des collections de monsieur Francis Guerault, vente à Paris, étude Bellier, les 21-22 mars 1935, lot 87 et a été vendue 270.500 Francs à Monsieur Ancel. Enfin, une autre armoire de Péridiez comparable a été vendue chez Christie's Paris, le 13 décembre 2006, lot 238, adjugée 224.800 euros.