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拍品專文
Le cadran de notre pendule est signé par l'horloger Edme-Philibert Guydamour (1752-1798). Fils de Edme et neveu, par son mariage, de Balthazar Lieutaud, il est reçu maître en 1784. Ses pendules sont toujours d'une très grande qualité, notamment grâce à sa collaboration avec la famille Osmond et François Rémond pour ses boîtes (Jean-Dominique Augarde, Les ouvriers du Temps, Editions Antiquorum, Genève, 1996, p. 331).
Une pendule similaire à celle ici présentée et dont le cadran est signé par le même horloger est conservée dans les collections royales espagnoles (cf. Bibliographie comparative).
Une autre pendule du même modèle est conservée à la Maison Blanche, à Washington, et est exposée sur la cheminée de la Red Room, illustrant ainsi le goût outre-Atlantique pour les arts décoratifs français. Le mouvement est de l'horloger Michel-François Piolaine.
Cette pendule est un présent du président français Vincent Auriol en 1952 à Truman. D'après les photographies conservées aux archives du musée de la Maison Blanch, la pendule a été placée dans la Red Room vers 1957 sous la présidence d'Eisenhower (1953-1961). Signalons que le président Kennedy effectuera de nombreux achats toujours visibles dans le salon.
Une pendule similaire à celle ici présentée et dont le cadran est signé par le même horloger est conservée dans les collections royales espagnoles (cf. Bibliographie comparative).
Une autre pendule du même modèle est conservée à la Maison Blanche, à Washington, et est exposée sur la cheminée de la Red Room, illustrant ainsi le goût outre-Atlantique pour les arts décoratifs français. Le mouvement est de l'horloger Michel-François Piolaine.
Cette pendule est un présent du président français Vincent Auriol en 1952 à Truman. D'après les photographies conservées aux archives du musée de la Maison Blanch, la pendule a été placée dans la Red Room vers 1957 sous la présidence d'Eisenhower (1953-1961). Signalons que le président Kennedy effectuera de nombreux achats toujours visibles dans le salon.