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SAND, George (1804-1876). Lettre autographe, signée "G. Sand", à Émile de Girardin. 11 février 1854.
Une page in-12 (210 x 132 mm). Encre noire sur papier. (Pliures.)
"Je vous demande encore l'hospitalité. Vous trouverez que ma personnalité a bien souvent à se défendre, mais si vous jetez les yeux sur ce que je vous envoie (quand ce sera imprimé) vous verrez qu'on me fait insulter les mourans et les absens, et que je ne puis souffrir cela. Nohant vous attend toujours [...]" Lettre publiée in Georges Lubin George Sand. Correspondance (Paris: Garnier, 1976), p. 287.
[On joint:] -- DE LA MÊME. Lettre autographe, signée "G. Sand", à François Rollinat. S. d. [Nohant, 29 août 1865]. Une page in-12. Encre bleue sur papier. (Pliures.) "Cher ami, Maurice est venu ensevelir avec moi à Palaiseau notre pauvre ami. Je suis revenue à Nohant pour une quinzaine. J'avais besoin de revoir mes enfans après tant de chagrin et de fatigue. Je suis encore écrâsée, abrutie. Depuis le jour où tu l'as vu, ça été une agonie jour par jour, heure par heure. Je crois ce que tu crois. J'ai donc du courage [...]" Lettre publiée in Georges Lubin George Sand. Correspondance (Paris: Garnier, 1964), p. 386. (2)
Une page in-12 (210 x 132 mm). Encre noire sur papier. (Pliures.)
"Je vous demande encore l'hospitalité. Vous trouverez que ma personnalité a bien souvent à se défendre, mais si vous jetez les yeux sur ce que je vous envoie (quand ce sera imprimé) vous verrez qu'on me fait insulter les mourans et les absens, et que je ne puis souffrir cela. Nohant vous attend toujours [...]" Lettre publiée in Georges Lubin George Sand. Correspondance (Paris: Garnier, 1976), p. 287.
[On joint:] -- DE LA MÊME. Lettre autographe, signée "G. Sand", à François Rollinat. S. d. [Nohant, 29 août 1865]. Une page in-12. Encre bleue sur papier. (Pliures.) "Cher ami, Maurice est venu ensevelir avec moi à Palaiseau notre pauvre ami. Je suis revenue à Nohant pour une quinzaine. J'avais besoin de revoir mes enfans après tant de chagrin et de fatigue. Je suis encore écrâsée, abrutie. Depuis le jour où tu l'as vu, ça été une agonie jour par jour, heure par heure. Je crois ce que tu crois. J'ai donc du courage [...]" Lettre publiée in Georges Lubin George Sand. Correspondance (Paris: Garnier, 1964), p. 386. (2)
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Audrey Bangou