.jpg?w=1)
拍品专文
L'authenticité de cette oeuvre a aimablement été confirmée par la Ed Paschke Foundation.
'J'avais envie de faire des strip-teaseuses - ce qui remonte à un temps où je fréquentais quelques endroits qui avaient un spectacle du genre. L'un en particulier avait quantité de grands clichés, faisant presque un mètre, de ces typiques strip-teaseuses pour attirer le client. Il fallait que je fasse une sorte de bond en avant psychologique dans mon rapport à la photo, que je ne sois plus aussi littéral, mais en position d'effectuer des modifications structurelles dans la figure.' (Ed Paschke cité in Ed Paschke, catalogue d'exposition, Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, décembre 1989-février 1990, p. 26).
'I wanted to paint strippers, which goes back to the time when I used to hang out in those kinds of places. One place in particular has all these big pictures of strippers on the wall, over three feet high, in typical poses to attract the customers. I had to take a great leap forward psychologically in my relationship to the photograph - to stop being so literal, to allow myself more freedom in making structural changes to the figure.' (Ed Paschke cited in Ed Paschke Retrospective, exh. cat., Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, December 1989-February 1990, p. 26).
'J'avais envie de faire des strip-teaseuses - ce qui remonte à un temps où je fréquentais quelques endroits qui avaient un spectacle du genre. L'un en particulier avait quantité de grands clichés, faisant presque un mètre, de ces typiques strip-teaseuses pour attirer le client. Il fallait que je fasse une sorte de bond en avant psychologique dans mon rapport à la photo, que je ne sois plus aussi littéral, mais en position d'effectuer des modifications structurelles dans la figure.' (Ed Paschke cité in Ed Paschke, catalogue d'exposition, Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, décembre 1989-février 1990, p. 26).
'I wanted to paint strippers, which goes back to the time when I used to hang out in those kinds of places. One place in particular has all these big pictures of strippers on the wall, over three feet high, in typical poses to attract the customers. I had to take a great leap forward psychologically in my relationship to the photograph - to stop being so literal, to allow myself more freedom in making structural changes to the figure.' (Ed Paschke cited in Ed Paschke Retrospective, exh. cat., Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, December 1989-February 1990, p. 26).