Lot Essay
Le tableau, de jolie qualité et dans un bel état de conservation, dépeint la scène, fréquemment représentée au XVIIe siècle, de Moïse frappant le Rocher de Meriba pour faire jaillir de l'eau et apaiser la soif des Israélites. Van Balen, comme d'autres peintres de sa génération, semble avoir apprécié le sujet, à en croire les nombreuses mentions de tableaux de ce sujet vendus aux XVIIIe et XIXe siècles dans les ventes publiques. On en connaît encore aujourd'hui plusieurs, dont un, dont la composition est très proche mais offre quelques variantes notoires, est passé en vente chez Finarte, Milan, le 26 mars 2011 (lot 27). Plus récemment, un Frappement du rocher du même artiste, mais peint sur cuivre, battait le record du monde pour un tableau de Van Balen (969.000 euros, Paris, 7 dcembre 2012, lot 20).
Une version de moindre qualité, avec variantes, est conservée à Brunswick, au Herzog-Anton-Ulrich-Museum. Elle est cataloguée par Bettina Werche (Henrick van Balen (1757-1832): Ein Antwerpener Kabinettbildmaler der Rubenzeit, Turnhout, 2004, vol. I, n.E2 p. 235) parmi les oeuvres dont l'attribution n'est pas certaine.
Une version de moindre qualité, avec variantes, est conservée à Brunswick, au Herzog-Anton-Ulrich-Museum. Elle est cataloguée par Bettina Werche (Henrick van Balen (1757-1832): Ein Antwerpener Kabinettbildmaler der Rubenzeit, Turnhout, 2004, vol. I, n.E2 p. 235) parmi les oeuvres dont l'attribution n'est pas certaine.