Lot Essay
Cf. : A. Isozaki, Shiro Kuramaa 1967-1987, Édition Parco Co. Ltd., Tokyo, 1988, p. 56
M. Dietz & M. Mönninger, Japanese Design, Taschen, 1988, p. 66
A. Bangert & K.M. Armer, Design Les années 80, éditions du Chêne, Hong Kong, 1990, p. 57, n. 70
Shiro Kuramata 1934-1991, catalogue d'exposition, Hara Museum of Contemporary Aart, Tokyo, Édition Kuramata Design Office, Tokyo, 2000, illu. 35, p. 151, pl. 2
D. Sudjic, Shiro Kuramata, Catalogue of works, Phaidon, Londres, 2013, p. 302, n. 204
D. Sudjic, Shiro Kuramata, Essays & Writings, Phaidon, Londres, 2013, p. 143 et 209
Kuramata nommera ce modèle 'Furniture on four legs' avant de lui donner le nom de 'Solaris' en hommage au film de science-fiction éponyme d'Andreï Tarkovski, dont la thématique fait écho à l'importance du subconscient, de la mémoire, des souvenirs et des rêves dans son travail. Il s'intérroge et se demande fréquemment si ses créations ne sont pas le produit de son propre subconscient, chaque tiroir étant une mémoire en soi. Les proportions du meuble porté par ces quatre hauts pieds tubulaires lui confère une force et un caractère singuliers, un certain mystère animé.
Le Kuramata Design Office confirme qu'entre 1977 et 1981, date d'acquisition de l'exemplaire présenté ici, seul trois cabinets Solaris ont été produits au Japon par Ishimaru Co. Ltd. En 1985 Cappellini acquiert les droits d'édition d'un certain nombre de créations de Kuramata, dont ce modèle.
M. Dietz & M. Mönninger, Japanese Design, Taschen, 1988, p. 66
A. Bangert & K.M. Armer, Design Les années 80, éditions du Chêne, Hong Kong, 1990, p. 57, n. 70
Shiro Kuramata 1934-1991, catalogue d'exposition, Hara Museum of Contemporary Aart, Tokyo, Édition Kuramata Design Office, Tokyo, 2000, illu. 35, p. 151, pl. 2
D. Sudjic, Shiro Kuramata, Catalogue of works, Phaidon, Londres, 2013, p. 302, n. 204
D. Sudjic, Shiro Kuramata, Essays & Writings, Phaidon, Londres, 2013, p. 143 et 209
Kuramata nommera ce modèle 'Furniture on four legs' avant de lui donner le nom de 'Solaris' en hommage au film de science-fiction éponyme d'Andreï Tarkovski, dont la thématique fait écho à l'importance du subconscient, de la mémoire, des souvenirs et des rêves dans son travail. Il s'intérroge et se demande fréquemment si ses créations ne sont pas le produit de son propre subconscient, chaque tiroir étant une mémoire en soi. Les proportions du meuble porté par ces quatre hauts pieds tubulaires lui confère une force et un caractère singuliers, un certain mystère animé.
Le Kuramata Design Office confirme qu'entre 1977 et 1981, date d'acquisition de l'exemplaire présenté ici, seul trois cabinets Solaris ont été produits au Japon par Ishimaru Co. Ltd. En 1985 Cappellini acquiert les droits d'édition d'un certain nombre de créations de Kuramata, dont ce modèle.