Lot Essay
Adriaen Kocks
Il achète, en 1687, la manufacture de l'A Grec à sa belle-soeur, veuve de Samuel Van Eenhoorn et la dirige jusqu'en 1701. Sous sa direction la manufacture produit des pièces importantes destinées à Guillaume III d'Orange et la reine Marie Stuart II. Peu avant son décès, Adriaen Kocks transmet l'établissement à son fils Pieter Adriaen Kocks. Après le décès de ce dernier en 1703, sa veuve, Johanna van der Heul, dirige la manufacture en utilisant la marque de son époux, PAK, et développe notamment l'usage de l'or dans ses productions. En 1722, elle décide de vendre l'établissement à Jacob van der Kool.
Pour un modèle similaire voir par Dave et Robert Aronson, Dutch Delfware in the Dr. Günther Collection, Amsterdam, 2004, p.76, n.90.
Une autre paire conservée au Palais Het Loo à Apeldoorn est illustrée par Christine Lahaussois (sous la direction de), dans Delft Faïence, Paris, 2008, p.82.
Il achète, en 1687, la manufacture de l'A Grec à sa belle-soeur, veuve de Samuel Van Eenhoorn et la dirige jusqu'en 1701. Sous sa direction la manufacture produit des pièces importantes destinées à Guillaume III d'Orange et la reine Marie Stuart II. Peu avant son décès, Adriaen Kocks transmet l'établissement à son fils Pieter Adriaen Kocks. Après le décès de ce dernier en 1703, sa veuve, Johanna van der Heul, dirige la manufacture en utilisant la marque de son époux, PAK, et développe notamment l'usage de l'or dans ses productions. En 1722, elle décide de vendre l'établissement à Jacob van der Kool.
Pour un modèle similaire voir par Dave et Robert Aronson, Dutch Delfware in the Dr. Günther Collection, Amsterdam, 2004, p.76, n.90.
Une autre paire conservée au Palais Het Loo à Apeldoorn est illustrée par Christine Lahaussois (sous la direction de), dans Delft Faïence, Paris, 2008, p.82.