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拍品專文
Dans la France des années 1930, apparait un nouveau langage pictural dans le sillage du Douanier Roussier : les collectionneurs et défenseurs de cet art , tels que Wilhelm Uhde et Anatole Jakovsky, parleront d’Art Naif.
Louis-Auguste Déchelette est l'un des maîtres de ce nouveau courant. A l’origine peintre en bâtiment, Déchelette assouvit sa passion pour l’art pendant son temps libre en peignant des scènes du quotidien : légèreté et drôlerie, avec ou sans calembour sont au rendez-vous.
Anatole Jakovsky qui écrira le Lexique des peintres naifs (Bâle, 1967) dira de l’artiste : « joueur émérite de boules (lyonnaises), petit de taille, œil malicieux, grand amateur de beaujolais, compagnon du Tour de France, bon peintre en bâtiment et beau peintre tout court, à la fois poète et chansonnier et inventeur… ».
La prestigieuse galeriste Jeanne Bucher le présentera d’ailleurs Boulevard du Montparnasse lors de 2 expositions en 1942 et 1944.
Louis-Auguste Déchelette est l'un des maîtres de ce nouveau courant. A l’origine peintre en bâtiment, Déchelette assouvit sa passion pour l’art pendant son temps libre en peignant des scènes du quotidien : légèreté et drôlerie, avec ou sans calembour sont au rendez-vous.
Anatole Jakovsky qui écrira le Lexique des peintres naifs (Bâle, 1967) dira de l’artiste : « joueur émérite de boules (lyonnaises), petit de taille, œil malicieux, grand amateur de beaujolais, compagnon du Tour de France, bon peintre en bâtiment et beau peintre tout court, à la fois poète et chansonnier et inventeur… ».
La prestigieuse galeriste Jeanne Bucher le présentera d’ailleurs Boulevard du Montparnasse lors de 2 expositions en 1942 et 1944.