![[Paul ÉLUARD (1895-1952)] – Souvenirs avec Gala. Documents et photographies originales comprenant :](https://www.christies.com/img/LotImages/2016/PAR/2016_PAR_12686_0168_000(paul_eluard_souvenirs_avec_gala_documents_et_photographies_originales085101).jpg?w=1)
Details
[Paul ÉLUARD (1895-1952)] – Souvenirs avec Gala. Photographies et documents originaux comprenant :
Photographie de Gala et Paul Éluard à Clavadel en Suisse en 1913 selon une annotation au crayon au dos (105 x 80 mm). C’est dans ce sanatorium, où il séjourne jusqu’en février 1914, qu’Éluard fait la connaissance d’Hélène Dimitrovnie Diakonova, surnommée Gala, qu’il épousera en février 1917.
Photographie de Gala et Paul Éluard costumés en pierrots (180 x 125 mm), lors d’un bal masqué au sanatorium de Clavadel en 1913.
Photographie de Gala et Paul Éluard entourés de cinq autres jeunes gens à Clavadel (120 x 85 mm).
Photographie sur carte-postale représentant Paul Éluard, alors infirmier à l’hôpital ordinaire d’évacuation n° 18 à Hargicourt (Somme), en 1916. (140 x 88 mm). Annotation au crayon : « Eluard, 5ème debout à partir de la gauche) ».
Lettre autographe de l’officier d’administration de l’hôpital d’évacuation n° 18, datée du 26 septembre 1916 (2 pages in-4 sur un feuillet) et relative au souhait d’Éluard d’être versé dans les unités combattantes. Il sera affecté au 95e puis 22e régiment d’infanterie.
Lettre autographe signée de Gala à A.-J. Gonon, datée « le 7 avril 1918. Bray ». Une page in-12, avec enveloppe. Gonon, bouquiniste montmartrois devenu relieur puis éditeur, fut, pendant la guerre, l’un des principaux correspondants d’Éluard. « […] On m’a expédié comme la chose la plus précieuse encore que les objets d’art (car on les laisse à Paris). Et me voilà à Bray […], à six heures du grand danger […] »
Deux photographies de Paul Éluard et René Char en Suisse en 1935 (60 x 85 mm, 182 x 125 mm). Alors qu’Éluard est en cure au sanatorium de Davos avec Crevel, il reçoit la visite de René Char.
Carnaval. Poème autographe. (Une page in-4, crayon sur papier pelure). Ce poème écrit en 1913 a été publié par Georges Hugnet en 1962 dans Arts puis, en 1972, dans Pleins et déliés. (Paul Éluard. Œuvres complètes. Bibliothèque de la Pléiade, 1968, tome II, p. 763).
Au verso, figure le texte de « Bulle d’inspiration », premier poème des Premiers poèmes, copié au crayon par Valentine Hugo qui a noté, dans la marge supérieure, « chez Mme G.[rindel] le 24 juin 53 », quelques mois seulement après la mort du poète. Valentine Hugo prit soin de préserver quelques notes autographes d’Éluard relatives à un voyage en Suisse et le dessin qui occupe le quart supérieur gauche de la feuille.
Reconstitution d’un projet de Paul Éluard intitulé « Appel à tous » à partir des Poèmes pour la paix. Reconstitution établie de la main de Robert Valette sous la forme d’un dépliant de onze colonnes (1040 x 210 mm, encres noire, bleue et rouge). « À la fin de l’année 1918, l’auteur envisage de compléter ce recueil [Poème pour la paix]. Les lettres qu’il écrit d’octobre 1918 à janvier 1919 à son ami Gonon […] nous permettent de suivre les étapes d’un projet qui ne devait pas aboutir, bien qu’il ait un certain développement […] ‘Je fais ce que j’ai fait dans les Poèmes de la paix ‘en mieux’ […] » (Paul Éluard. Œuvres complètes. Bibliothèque de la Pléiade, 1968, tome I, p. 1310). BEL ENSEMBLE.
Photographie de Gala et Paul Éluard à Clavadel en Suisse en 1913 selon une annotation au crayon au dos (105 x 80 mm). C’est dans ce sanatorium, où il séjourne jusqu’en février 1914, qu’Éluard fait la connaissance d’Hélène Dimitrovnie Diakonova, surnommée Gala, qu’il épousera en février 1917.
Photographie de Gala et Paul Éluard costumés en pierrots (180 x 125 mm), lors d’un bal masqué au sanatorium de Clavadel en 1913.
Photographie de Gala et Paul Éluard entourés de cinq autres jeunes gens à Clavadel (120 x 85 mm).
Photographie sur carte-postale représentant Paul Éluard, alors infirmier à l’hôpital ordinaire d’évacuation n° 18 à Hargicourt (Somme), en 1916. (140 x 88 mm). Annotation au crayon : « Eluard, 5ème debout à partir de la gauche) ».
Lettre autographe de l’officier d’administration de l’hôpital d’évacuation n° 18, datée du 26 septembre 1916 (2 pages in-4 sur un feuillet) et relative au souhait d’Éluard d’être versé dans les unités combattantes. Il sera affecté au 95e puis 22e régiment d’infanterie.
Lettre autographe signée de Gala à A.-J. Gonon, datée « le 7 avril 1918. Bray ». Une page in-12, avec enveloppe. Gonon, bouquiniste montmartrois devenu relieur puis éditeur, fut, pendant la guerre, l’un des principaux correspondants d’Éluard. « […] On m’a expédié comme la chose la plus précieuse encore que les objets d’art (car on les laisse à Paris). Et me voilà à Bray […], à six heures du grand danger […] »
Deux photographies de Paul Éluard et René Char en Suisse en 1935 (60 x 85 mm, 182 x 125 mm). Alors qu’Éluard est en cure au sanatorium de Davos avec Crevel, il reçoit la visite de René Char.
Carnaval. Poème autographe. (Une page in-4, crayon sur papier pelure). Ce poème écrit en 1913 a été publié par Georges Hugnet en 1962 dans Arts puis, en 1972, dans Pleins et déliés. (Paul Éluard. Œuvres complètes. Bibliothèque de la Pléiade, 1968, tome II, p. 763).
Au verso, figure le texte de « Bulle d’inspiration », premier poème des Premiers poèmes, copié au crayon par Valentine Hugo qui a noté, dans la marge supérieure, « chez Mme G.[rindel] le 24 juin 53 », quelques mois seulement après la mort du poète. Valentine Hugo prit soin de préserver quelques notes autographes d’Éluard relatives à un voyage en Suisse et le dessin qui occupe le quart supérieur gauche de la feuille.
Reconstitution d’un projet de Paul Éluard intitulé « Appel à tous » à partir des Poèmes pour la paix. Reconstitution établie de la main de Robert Valette sous la forme d’un dépliant de onze colonnes (1040 x 210 mm, encres noire, bleue et rouge). « À la fin de l’année 1918, l’auteur envisage de compléter ce recueil [Poème pour la paix]. Les lettres qu’il écrit d’octobre 1918 à janvier 1919 à son ami Gonon […] nous permettent de suivre les étapes d’un projet qui ne devait pas aboutir, bien qu’il ait un certain développement […] ‘Je fais ce que j’ai fait dans les Poèmes de la paix ‘en mieux’ […] » (Paul Éluard. Œuvres complètes. Bibliothèque de la Pléiade, 1968, tome I, p. 1310). BEL ENSEMBLE.
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Victorine d'Arcangues