拍品專文
Cette œuvre est inspirée d’un poème d’Amable Tastu, nom de plume de Sabine Casimire Amable Voïart (1795-1885), extrait du recueil Poésies paru pour la première fois en 1826.
'[…]/ Au saule antique incliné sur ma tête/ Ma main enlève, indolente et distraite, /Un vert rameau ;/ Puis j’effeuillai sa dépouille légère,/ Suivant des yeux sa course passagère/ Sur le ruisseau./ […]/ Voyons, disais-je à la feuille entrainée,/ Ce qu’à ton sort, ma fortune enchaînée/ Va devenir ?'
Remarquée par la critique au Salon de 1834, cette composition sera immédiatement diffusée par la lithographie d’Adolphe Midy. Elle figurera une seconde fois au Salon, en 1839, quelques semaines après la mort de l’artiste.
'[…]/ Au saule antique incliné sur ma tête/ Ma main enlève, indolente et distraite, /Un vert rameau ;/ Puis j’effeuillai sa dépouille légère,/ Suivant des yeux sa course passagère/ Sur le ruisseau./ […]/ Voyons, disais-je à la feuille entrainée,/ Ce qu’à ton sort, ma fortune enchaînée/ Va devenir ?'
Remarquée par la critique au Salon de 1834, cette composition sera immédiatement diffusée par la lithographie d’Adolphe Midy. Elle figurera une seconde fois au Salon, en 1839, quelques semaines après la mort de l’artiste.