.jpg?w=1)
拍品专文
Élève à l’École des Beaux-Arts dans l’atelier de Fernand Cormon, Georges Lepape se lie avec Charles Martin, André Marty et Pierre Brissaud, qui compteront parmi les plus grands illustrateurs des années à venir. Après sa première participation au Salon d’Automne en 1910, l’artiste fait la connaissance du couturier Paul Poiret, alors à la recherche d’un nouvel illustrateur. Le succès rencontré par l’ouvrage né de leur collaboration, Les Choses de Paul Poiret, paru en 1911, assure la reconnaissance de Lepape.
Devenu un illustrateur très recherché, l’artiste collabore désormais avec La Gazette du Bon Ton, mais est également sollicité par les revues Femina, Vanity Fair, Harper’s Bazaar, et par les maisons de mode Worth, Paquin, Lanvin, ou encore Doucet. En 1926, la carrière de l’artiste prend un tournant international. Invité à New York par Condé Nast, il démarre une longue et étroite collaboration avec les éditions françaises et américaines de Vogue.
L’Élégante aux gants illustre parfaitement l’élégance de l’art de Georges Lepape qui parvient avec une grande sobriété à mettre en valeur le vêtement de son modèle, dont le traitement très graphique se détache sur le fond laissé en réserve.
Devenu un illustrateur très recherché, l’artiste collabore désormais avec La Gazette du Bon Ton, mais est également sollicité par les revues Femina, Vanity Fair, Harper’s Bazaar, et par les maisons de mode Worth, Paquin, Lanvin, ou encore Doucet. En 1926, la carrière de l’artiste prend un tournant international. Invité à New York par Condé Nast, il démarre une longue et étroite collaboration avec les éditions françaises et américaines de Vogue.
L’Élégante aux gants illustre parfaitement l’élégance de l’art de Georges Lepape qui parvient avec une grande sobriété à mettre en valeur le vêtement de son modèle, dont le traitement très graphique se détache sur le fond laissé en réserve.