Lot Essay
Nos chandeliers semblent correspondre à la fiche technique VII B-2, C, n.8. de l'ouvrage d'Elisabeth Antoine, D. Gaborit-Chopin, M.-M. Gauthier, Corpus des Emaux méridionaux, II, l'Apogée, 1190-1215, Paris, 2011.
Ils proviendraient de la vente Doistau, Paris le 22-25 novembre 1909, lot 123, et ont probablement été acquis par la galerie Brimo de Laroussilhe. Grâce au carnet de la famille nous savons que les chandeliers ont été ramenés de Paris le 29/12/1911 par Charles Van Hove antiquaire bruxellois.
Nous avons connaissance de deux autres versions: ces chandeliers isolés, repérés sur le marché de l’art ou en mains privées au cours du XXe siècle, sont tous deux dotés d’une bobèche à ressauts et se distinguent, l’un par le profil non arqué des pieds et la petite platine qui leur a été ajoutée (Londres, VII B II-2 C, n˚ 4), l’autre par le réseau losangé gravé sur les anneaux de la tige (Cologne, VII B II-2 C, n˚ 3).
Ils proviendraient de la vente Doistau, Paris le 22-25 novembre 1909, lot 123, et ont probablement été acquis par la galerie Brimo de Laroussilhe. Grâce au carnet de la famille nous savons que les chandeliers ont été ramenés de Paris le 29/12/1911 par Charles Van Hove antiquaire bruxellois.
Nous avons connaissance de deux autres versions: ces chandeliers isolés, repérés sur le marché de l’art ou en mains privées au cours du XXe siècle, sont tous deux dotés d’une bobèche à ressauts et se distinguent, l’un par le profil non arqué des pieds et la petite platine qui leur a été ajoutée (Londres, VII B II-2 C, n˚ 4), l’autre par le réseau losangé gravé sur les anneaux de la tige (Cologne, VII B II-2 C, n˚ 3).