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Details
MAURIAC, François (1885-1970). Thérèse Desqueyroux. Paris : Bernard Grasset, 1927.
Edition originale, exemplaire sobrement relié par Creuzevault et enrichi d'un bel et long envoi autographe au romancier Jean Davray. Quelques mois plus tard, François Mauriac rédigera une critique particulièrement élogieuse de l'ouvrage Fraîcheur de son "confrère et ami" Jean Davray, qu'il comparera à Aymé et à Céline.
In-12 (184 x 113 mm). Edition originale, tirage limité à 2185 exemplaires, celui-ci l’un des 54 sur papier Montval Canson et Montgolfier (n°8). Reliure signée de Creuzevault : maroquin janséniste vert émeraude, dos lisse avec titre doré, encadrement de maroquin vert émeraude sur les contreplats avec double filet doré autour d'un rectangle de moire verte, gardes de moire verte, tranches dorées sur témoins (dos passé). Couverture originale conservée. Etui. Provenance : exemplaire enrichi sur la page de faux-titre d'un envoi autographe signé de l'auteur à Jean Davray (1914-1985), daté à Paris en octobre 1935 : "A Jean Davray, Pour qu'il aime cette empoisonneuse, pour qu'il comprenne mieux, à la faveur du crime, la beauté de cette âme fille de Dieu, pour qu'il apprenne à voir et à juger les êtres, non d'après leurs gestes, mais pour ce qu'ils sont réellement" -- ex-libris "D.J.".
Edition originale, exemplaire sobrement relié par Creuzevault et enrichi d'un bel et long envoi autographe au romancier Jean Davray. Quelques mois plus tard, François Mauriac rédigera une critique particulièrement élogieuse de l'ouvrage Fraîcheur de son "confrère et ami" Jean Davray, qu'il comparera à Aymé et à Céline.
In-12 (184 x 113 mm). Edition originale, tirage limité à 2185 exemplaires, celui-ci l’un des 54 sur papier Montval Canson et Montgolfier (n°8). Reliure signée de Creuzevault : maroquin janséniste vert émeraude, dos lisse avec titre doré, encadrement de maroquin vert émeraude sur les contreplats avec double filet doré autour d'un rectangle de moire verte, gardes de moire verte, tranches dorées sur témoins (dos passé). Couverture originale conservée. Etui. Provenance : exemplaire enrichi sur la page de faux-titre d'un envoi autographe signé de l'auteur à Jean Davray (1914-1985), daté à Paris en octobre 1935 : "A Jean Davray, Pour qu'il aime cette empoisonneuse, pour qu'il comprenne mieux, à la faveur du crime, la beauté de cette âme fille de Dieu, pour qu'il apprenne à voir et à juger les êtres, non d'après leurs gestes, mais pour ce qu'ils sont réellement" -- ex-libris "D.J.".